DB2 Web Query, installation

Il vous faut obtenir le produit 5733WQX

Nous parlons, ici, de la version 2.1 ou 2.2 du produit

Vérifiez que vous avez les produits suivants (5761xxx en V6R10, 5770xxx en V7):

• 5770SS1  Option 3 - Extended Base Directory Support
• 5770SS1  Option 30 - Qshell
• 5770SS1  Option 33 - PASE
• 5761JV1  Option 11 - Java SE 6 32 bit
• 5770DG1 IBM HTTP Server for i5/OS
• (en V6R1 : 5761JC1  IBM Toolbox for Java )

Installez les PTF suivantes (voyez l'APAR II14682 pour actualiser les N°)

• V6R10
  • SF99610 , C1256610
  • SF99601 (database), niveau 25
  • SF99562 (java), niveau 19
    
  • SF99115 (http) niveau 25
  • SI45002
    
    
• V7R10
  • SF99710 , C1116710
  • SF99701 (database), niveau 14
  • SF99572 (java), niveau 8
    
  • SF99368 (http) niveau 13
  • SI45000
    
    
• V7R20
  • SF99702 ( Database) niveau 1                            
    
  • SF99716 (Java) niveau 1                         
    
  • SF99713 (Http) niveau 1    
    
    
    
• Installez le produit et les options choisies
  
  
• Ajoutez les clefs de licence fournies (ADDLICKEY)
  
  
• Puis les PTF associées au produit
  • SF99646, niveau 6,7 ou 8, si vous êtes en V6R10
  • SF99647, niveau 7 ou 8, si vous êtes en 7.1
  • SF99747, niveau 8 si vous êtes en 7.2
    
    Enfin, allez vérifier les derniers niveaux de correctifs ici :
    
    http://www-912.ibm.com/n_dir/nas4apar.nsf/c79815e083182fec862564c00079d117/d686487797ec0c8586257a0a003ca96d?OpenDocument
    
    
• V7R30
  • Seule la version 2.20 de DB2 Web Query est supportée

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Migration

Vous pouvez installer 5733WQX parallèlement à 5733QU2

Tant que vous n'avez pas installé de clé à WQX (vous pouvez l'utiliser 70 jours), les clés de licences sont encore "accrochées" à QU2

Lors du démarrage (QWEBQRY/STRWEBQRY), vous verrez

• les ports utilisés ne sont pas les mêmes (12331 vs 11331)
• Les codes produits et les bibliothèques sont différents (Qwebqry vs Qwebqry77)
• les répertoires utilisés sont /qibm/userdata/qwebqry (et /qibm/proddata/qwebqry) .
• le profil utilisateur de référence est QWQADMIN.
  
  
• Les licences utilisateurs seront copiées vers WQX
• les métadonnées sont transférées, la propriété est attribuée à QWQADMIN
• les rapports sont copiés, les domaines sont transformés en répertoires racines
  
  
  les dernières versions proposent une nouvelle commande :
  
  QWEBQRY/MIGWEBQRY TYPE(*SAMESYS) PHASE(*SAVRST)
  
  puis
  QWEBQRY/MIGWEBQRY TYPE(*SAMESYS) PHASE(*CLEANUP) pour nettoyer les fichiers temporaires
  
  

Démarrage et paramétrage

Attribuez un mot de passe à QWQADMIN (CHGUSRPRF) et si vous êtes avec QCCSID à 65535 un CCSID.

lancez le serveur par STRWEBQRY (bibliothèque QWEBQRY)

Cela doit lancer un certain nombre de JOB :

• Version 2.1:
  • les travaux sont lancés dans un sous système spécifique (QWEBQRY21, même en version 2.2)
  • le serveur web se nomme WQLWI80 ou QWQLIB85 (suivant le niveau de PTF)
  • plus des services spécifiques: EDAPTH, EDAPLOG, EDAPGWY(3), TSCOM3(4), JSCOM3
  • des travaux serveurs pour SQL lui même, QSQSRVR toujours dans QSYSWRK

Tout ce petit monde doit utiliser les ports IP suivants : 12331+12336/12338 (wqlwi80), 12332 et 12333 (edapgwy) , 11335 (jscom3c)

le premier (12331) étant le port d'écoute du serveur WEB associé à DB2 Web Query.

vérifiez le par NETSTAT *CNN

Work with IPv4 Connection Status Système: AS400 Type options, press Enter. 3=Enable debug 4=End 5=Display details 6=Disable debug 8=Display jobs Remote Remote Local Opt Address Port Port Idle Time State * * hprip-ctl 129:14:00 *UDP * * hprip-n > 129:14:00 *UDP * * hprip-h > 129:14:00 *UDP * * hprip-med 129:14:00 *UDP * * hprip-low 129:14:00 *UDP * * 12331 000:33:56 Listen * * 12332 000:45:46 Listen * * 12333 123:29:25 Listen * * 12335 024:40:25 Listen * * 12336 000:36:20 Listen * * 12338 030:13:25 Listen

Voyez aussi la commande WRKWEBQRY

Autres commandes (toujours dans QWEBQRY)

• ENDWEBQRY : arrêt
• TRCWEBQRY : démarrage/arrêt des traces (plus de détail dans edaprint.log)
• WRKWEBQRY ; affiche l'état, propose arrêt/démarrage
• DSPWEBQRY : affichage du statuts des différents serveurs
  
  
• enfin, RUNWEBQRY : lancement d'un Query en batch
  par exemple
  
  Si vous faites un clic droit/propriétés sur un rapport
  
  Lancez la commande
  

les dernières versions nous proposent bien mieux (version standard, pas express) !

En Batch : la nouvelle commande RUNWQFEX, qui sait lancer n'importe quel rapport (y compris générant un graphe par exemple)

Il faudra renseigner

• un nom de liste de validation, créé par CRTWQPWD, dans laquelle vous aurez indiqué profil et mot de passe à utiliser
• le nom complet du rapport, tel qu'indiqué plus haut dans les propriétés
  
• éventuellement des valeurs à envoyer aux paramètres en entrée
  • &nomparam=valeur
    
• le paramètre en plus OUTPUT, acceptant
• *FTP, permettant un placement via FTP sur un serveur du résultat
• *EMAIL, un envoi par mail du résultat
• *FILE, un placement dans l'IFS du résultat

Enfin depuis la version 2.1 (toujours version standard) vous pourrez accéder aux rapports en mode web services

Tapez comme URL http://as400:12331/wqsoa pour un accès SOAP, http://as400:12331/wqrax pour un accès REST

Une authentification HTTP vous sera demandée (ici sous Chrome)

Puis on vous affiche la liste des "Top Level Folder"

Naviguez et cliquez sur un rapport, cela le lance :

L'URL affichée ici, peut être lancée directement (http://AS400:12331/wqrax/report?qwqPath=Top_Level_Folder/chemin/MonRapport.fex)

Pour ignorer la phase d'authentification, modifiez le fichier de paramétrage :

/qibm/userdata/qwebqry/extensions/wqrax.properties ou /qibm/userdata/qwebqry/extensions/wqsoa.properties

et mettez wqraxBasicAuthEnabled=false, vous pourrez alors,

1. mettre profil et mot de passe dans l'URL : MonRapport.fex&wqraxUser=QUSER&wqraxPassword=ABC123
2. mettre profil et mot de passe dans le fichier de paramétrage
   • user=QUSER
   • password=ABC123

 Pour plus de détails voyez :

• R21x SOAP-based Application Extension Installation and Usage Instructions
• R21x REST-based Application Extension administration guide

Paramétrage suite -> Code Page et paramétrage de la langue

Avec votre navigateur allez à l'URL suivante : <votre-as400>:12331/webquery

Signez vous QWQADMIN, puis dans administration demandez la console

Avant,

Indiquez la page de code cliente : 137 pour l'EBCDIC ou UNICODE

puis indiquez les autres langues possibles (suivant vos utilisateurs) afin de prévoir un changement de langue dynamique (au moins Anglais/Français)

et enfin paramétrez la présentation des données numériques en ajoutant dans les paramètres personnalisés

L'affichage de 3 millions et 25 centimes s'affiche :

CDN = OFF(dft) : 3,000,000.25
CDN = ON         : 3.000.000,25
CDN = SPACE  : 3 000 000,25

Nouveau en 2013, autorisation du choix du format de sortie, par l'utilisateur

->

Pour terminer vous pouvez éditer /qibm/userdata/qwebqry/ibi/srv77/wfs/etc/nlscfg.err
(/QIBM/USERDATA/qwebqry est le répertoire contenant NOTRE paramétrage)

en ajoutant :

CURRENCY = EUR

SI vous devez afficher des données en UNICODE

1. Sur la console (paramètres NLS) indiquez 65001
   
   
2. Arrêter le serveur par ENDWEBQRY
   
   
3. Vérifiez et éditez si besoin, la configuration du serveur d'application
   
   /edtf /  qibm/userdata/qwebqry/ibi/webfocus77/WQLWI77/lwi/conf/overrides/i5javaopts.javaopt
   
   le fichier doit inclure la ligne suivante :
   -Dfile.encoding=UTF8
   
   
4. Ouvrez une session 5250 avec le profil d'administration et lancez la commande
   
   WQSETNLS 65002
   
   
5. Redémarrez DB2 Web Query (STRWEBQRY)

Console du serveur (PTF niveau 7 ou 8) permet de réaliser ces opérations simplement

Choisissez Espace de travail/NLS



vous verrez tous les paramètres liés au langage

• Code page (paramètres NLS sur l'ancienne console)
• CURRENCY (System fait référence à QCURSYM)
• ...
  
  

C'est ici que vous pourrez indiquer la code page pour UNICODE


L'enregistrement intègre la commande WQSETNLS

Enregistrement des utilisateurs

Signez vous QWQADMIN puis prenez l'option Centre de sécurité

Vous avez à gauche la liste des utilisateurs autorisés, a droite les droits qui leur sont accordés

Pour ajouter un nouvel utilisateur

Pour chaque répertoire racine (domaine) créé, DB2 Web Query propose 6 groupes

• Administrateur de ce domaine
• Analyste, droit de gérer des rapports non publiés (privés)
• DBA, droit de gestion des méta-données
• Développeur, droit de gérer des rapports publiés et non publiés
• Exécuter, droit de lancer des rapports
• Planning ,droit de gestion du Planning (Broker)
  
  plus deux "super" groupes
  
  
• WebQueryAdministrator , administrateur sur la totalité du produit
• DevWorkBench, droit de connexion avec le produit "Developer WorkBench"
  

Pour activer un accès par Groupe (option 6 , Runtime Enablement)

Cliquez sur le Groupe d'exécution du Toplevel Folder (-run)


Choisissez parcourir, pour choisir un ou des groupes


Seuls les profils de groupe apparaissent

Et voilà


Tout cela doit apparaitre sous la commande WRKWEBQRY

Ensuite vérifiez que vous pouvez vous connecter en saisissant l'URL suivante : http://<votre-as400>:12331/webquery/:

EN V2.2

Pour une configuration d'un SSO avec EIM voyez la commande CFGWQSSO (SF99647 level 7)

Gestion des méta données.

Pour que des fichiers base de données soient accessibles, il faut que les métadonnées aient été générées.

 les métadonnées sont la représentation interne au produit de la structure et des caractéristiques des tables utilisables.

Elles peuvent être crées pour une application (dans un répertoire ou Top Level Folder) et ne seront visibles qu'à l'intérieur de celui-ci
ou bien dans baseapp qui est un répertoire commun et permet de déclarer les fichiers de bases, utilisables dans toutes les applications (client, sociétés, ...)

vous voyez cela dans serveurs de rapports

Ensuite, cliquez droit sur un répertoire

Il y a trois adaptateurs d'installés (il est possible d'en acheter d'autre comme celui permettant d'accéder à MySql ou Oracle)

• DB2 Cli, c'est en fait l'accès SQL à la base de données, offrant aujourd'hui les meilleures performances
  il est possible de se connecter à une autre base que la base locale (via DRDA)
  
  Indiquez ensuite le nom DRDA (enregistré par WRKRDBDIRE, ici S270) et le nom de connexion pour DB2 Web Query
  
  
  • Connexion Explicite, vous oblige à saisir lors de la configuration profil et mot de passe
  • Passthru mot de passe, DB2 Web Query réutilise votre profil/mot de passe de connexion initial
  • Sécurisé, DB2 Web Query essai d'utiliser votre profil/mot de passe Windows
    
  
  DB2 Web Query , sait faire ensuite, des jointures entre des tables venant de deux systèmes différents
  (synonyme pointant sur une table locale et synonyme pointant sur une table distante). C'est une première !
  
  
  
• DB Héritage permet l'accès, via OPNQRYF, aux fichiers multi-membres.
  
  
• Query/400 permet de réutiliser vos Query (pas vos requêtes QM)

Cliquez sur un élément et demandez la création de synonyme

Pour DB2/Cli

Choisissez entre :

• Tables, vues et autres objets, permettant l'accès aux objets base de données
  • Tables (fichiers physiques)
  • Vues (logiques créés par SQL mémorisant une requête SQL potentiellement complexe)
  • Alias (autre nom pour un fichier, pouvant pointer sur un membre particulier)
  • MQT (tables contenant le résultat d'une requête et pouvant être rafraîchie)
    
    
• Stored Procédure ou Procédure stockée
  
  
• External SQL Scripts ou scripts SQL stockés dans l'IFS
  
  

•Commençons par les objets SQL :

Indiquez une bibliothèque et un masque (LIKE SQL) pour constituer la liste des objets à sélectionner

Notez l'application (le domaine) pour lequel ce synonyme est créé (dans notre exemple common)

rappel : si vous avez un doute pour le domaine (le titre pouvant être modifié), demandez la liste dans serveurs de rapport

Cochez "Avec clés étrangères" si vous avez mis en place l'intégrité référentielle, voir ci dessous

Sélectionnez les objets concernés et indiquez un préfixe (ou un suffixe) à attribuer.

Le préfixe semble être la meilleur solution, en effet,
la liste des objets pouvant être manipulés par un rapport est globale et classée par ordre alphabétique

la notion de préfixe (ici avec un _ ) permet de mieux classer cette liste

Et voilà

Quelques remarques sur cette partie :

1/ N'hésitez pas à créer des vues de façon à préparer la donnée , à la simplifier pour l'utilisateur/concepteur de rapports

• faites les jointures importantes (avec les index qui permettent d'aller vite)
• renommez les zones s'il le faut
• éclatez les dates en données élémentaires en utilisant toute la puissance SQL
  

  • voyez, par exemple, les fonctions DATE suivantes
    
    

    Fonction(x)	Retourne ?	Exemple
    DAY(D) DAYOFMONTH(D)	retourne la partie jour de D (doit être une date ou un écart AAAAMMJJ).	DAY(DATCDE)
    MONTH(D)	retourne la partie mois de D (idem)	MONTH(current date)
    YEAR(D)	Retourne la partie année de D (idem)	YEAR(current date - DATCDE)
    DAYOFYEAR(D)	retourne le n° de jour dans l'année (julien)	DAYOFYEAR(datdep)
    DAYOFWEEK(D)	retourne le N° de jour dans la semaine (1 = Dimanche, 2=Lundi, ...)	DAYOFWEEK(ENTRELE)
    DAYOFWEEK_ISO(D)	retourne le N° de jour dans la semaine (1 = Lundi, ...)	DAYOFWEEK_ISO(ENTRELE)
    DAYNAME(d)	retourne le nom du jour de d (Lundi, Mardi, ...)	DAYNAME(datcde)
    MONTHNAME(d)	retourne le nom du mois de d (Janvier, Février, ...)	MONTHNAME(datcde)
    DAYS(D)	retourne le nbr de jours depuis 01/01/0001	DAYS(datcde)- DAYS(datliv)
    QUARTER(D)	retourne le n° du trimestre	QUARTER(DATEFIN)
    WEEK_ISO(D)	retourne le n° de semaine (la semaine 1 est celle qui possède un JEUDI dans l'année.)	WHERE WEEK_ISO(DATLIV)= WEEK_ISO(DATCDE)
    CURDATE()	retourne la date en cours, comme CURRENT DATE
    CURTIME()	retourne l'heure en cours, comme CURRENT TIME
    LAST_DAYS(d)	retourne la date correspondant au dernier jour du mois.	LAST_DAYS('2006-04-21') = 2006-04-30
    ADD_MONTHS(d, nbr )	ajoute un nbr de mois à une date , si la date est au dernier jour du mois, la date calculée est aussi au dernier jour du mois	ADD_MONTHS('2006-04-30' , 1) = 2006-05-31
    NEXT_DAYS(d, 'day' )	retourne le timestamp de la prochaine date ayant le jour demandé	NEXT_DAYS('2006-12-31' , 'DIM') = ' 2007-01-07-00.00.00.000000'

    Exemple de vue (offrant 4 zones, une renommée, une utilisant une fonction date, un comptage)

    
    CREATE VIEW BIB/VUE01 AS
    (
      SELECT NOCLI AS NUMERO_CLIENT, RAISOC, DAYNAME(DATCRT) AS JOUR_CREATION,
      COUNT(*) AS NBR_COMMANDES  FROM clients JOIN cdes USING(nocli)
      GROUP BY NOCLI, RAISOC, DAYNAME(DATCRT) )
    

  
  
  Vous pouvez aussi utiliser les fonctions SQL dans les méta-données, sous la forme SQL.nomdeFonction
  
  

• les métadata intégrerons automatiquement toutes les tables liées, si vous cochez "Avec clés externes"
  
  Par exemples, si vous définissez les intégrités suivantes (ADDPFCST ou lors du CREATE TABLE) :
  
  • FOREIGN KEY entre entêtes de commandes et clients indiquant que le n° de client doit exister dans le fichier client
  • FOREIGN KEY entre lignes de commandes et entête indiquant que le n° de cde doit exister dans le fichier entêtes de commande
    
    
  • Les métadonnées sur le fichier cave (base vinicole) proposerons plusieurs "segments"
    • T1 table cave
    • T2 les vins
    • T3 les appellations , etc ..
      
      Exemple, ici, sur une base vinicole
      (affichage "Structure")
      
      
  • la jointure sera automatiquement réalisée (et avec de bons temps de réponse, les index sont créés avec l'intégrité référentielle)

• faire un rapport simple, pour afficher ce résultat
• faire un rapport complexe (sélection, groupage) afin de réaliser à nouveau une requête sur ce résultat temporaire

•Scripts SQL (fichier stream dans l'IFS utilisant la convention d'appellation système [ le / ] )


indiquez le répertoire et l'extension du fichier (.SQL par défaut)

 

• Procédure cataloguée (appel à un programme avec SET RESULT SETS)

Soit cette table et cette procédure

CREATE PROCEDURE FORMATIONX.LSTCLIENTS ( IN SOCIETE CHAR(1) ) DYNAMIC RESULT SETS 1 LANGUAGE SQL BEGIN  DECLARE C1 CURSOR FOR SELECT NOCLI , RAISOC    FROM FORLATIONX . MESCLIENTS WHERE SOC = SOCIETE ; OPEN C1 ; SET RESULT SETS CURSOR C1 ; END ;

indiquez la bibliothèque où est enregistrée la procédure par CREATE PROCEDURE et la procédure

Confirmez

Renseignez les paramètres en entrée, s'il le faut.

La procédure doit retourner un jeu de résultat (RESULT SETS) au client.

Le CALL est exécuté, afin de retrouver la structure retournée

Quand vous utiliserez la procédure dans un rapport, vous devez voir deux parties

• INPUT
    Réprésentant les paramètres en entrée (à définir en paramètres du rapport)
• ANSWERSET1
   Réprésentant le jeu d'enregistrements (les données retournées) à utiliser dans le rapport
  
  
  Exemple
  
  

Autres connecteurs livrés de base :

• DB héritage, pour traiter des fichiers physiques multi-membres
  
  
  
  
  
  
  Attention, vous utiliserez l'ancien moteur CQE (les perf. sont moins bonnes) , et vous ne pourrez pas faire de jointures sur des fichiers sans clé
  
  voyez plutôt les ALIAS SQL de membre, créés par :
    CREATE ALIAS BDVIN1/VINSMBR1 FOR BDVIN1/VINS (MBR1) et utiliser DB2 Cli
  
  
  
• Query/400
  >
  
  
  
  

Depuis SF99647 level 4 , nous pouvons demander à DB2 Web Query de travailler avec *LIBL

Pour ne pas mémoriser de bibliothèque dans les Métadonnées, cochez nom à partie unique

il existe un paramètre équivalent sous CRTWQSYN -> QUALLIB(*NO)


Vous travaillez alors avec la liste de bibliothèque de la JOBD de l'utilisateur connecté.

Si vous souhaitez une liste de bibliothèque dynamique, vous devez :

• Définir des RTE (Run Time Environment) par WRKWQRTE
  
  
  
  L'option 6 permet d'ajouter un environnement
  
  
  
  Si vous indiquez un PGM d'exit , il doit avoir trois paramètres en entrée
  • User CHAR(10) - profil utilisateur en entrée
  • Path CHAR(256) - chemin complet du rapport
  • Code INT(10) - code retour :
    • 0 , le pgm a mis en place une liste de bibliothèque
    • <> 0, code erreur
      
      
• Ensuite associez des utilisateurs à cet environnement
  
  
  1 = cet environnement est celui par défaut pour l'utilisateur
  2 = cet environnement fait partie des environnements possibles
  
  
  
  
• Enfin l'utilisateur a le choix de l'environnement dans le menu suivant
  
  
  
  
  

Dans tous les cas de figure, un synonyme est représenté par deux fichiers (au moins) dans /QIBM/UserData/qwebqry/apps

• Un fichier .acx indiquant le type de source et l'origine
  
   Par exemple :
     SEGNAME=VIN_APPELLATIONS, TABLENAME=BDVIN1/APPELLATIONS, CONNECTION=*LOCAL,
      KEYS=1, $ pour une table
     
     SEGNAME=VIN_PRODUCTEURS_AYANT_DES_VINS, CONNECTION=*LOCAL,
       DATASET=/formation/bacchus/producteurs_ayant_des_vins.sql, $ pour un script SQL
  
     SEGNAME=TMPFILE, QIQRY=FORMATION0/QRY01, $ pour un Query
  
  
• Un fichier .mas donnant la liste des zones

   Par exemple :
   FIELDNAME=ADRESSE, ALIAS=ADRESSE, USAGE=A60, ACTUAL=A60,
    MISSING=ON, $ pour une zone ADRESSE
 

FIELDNAME est le nom utilisé par DB2 Web Query, vous pouvez le modifier (ou utiliser le produit optionnel WorkBench)

ALIAS est le nom de zone dans la base, n'y touchez pas !

 

Il va sans dire qu'il s'agit de copie d'information à un instant T, si la structure change vous devez régénérer le synonyme (Query particulièrement)

Pour faire cela la version 2 propose une option (MétaDonnée/Modifier), permettant de voir les métadonées existantes.

Toujours dans console du serveur

Applications


Remarquez l'option "Modifer en mode texte" qui propose la modification du fichier .mas
    

L'option "Ouvrir", quant à elle propose une maintenance aisée des métadonnées (ce qui n'était possible avant qu'avec le WorkBench)

Les possibilités d'action étant nombreuses

• Référence à un synonyme existant
  -> permet de faire un lien (comme une jointure) entre deux tables, comme le fait de découvrir l'intégrité référentielle
  
  
• Segmenter manuellement
  -> permet de faire manuellement un segment (un dimension), auquel on ajoutera des colonnes ensuite
  
  
• DEFINE
  -> Définition d'un champ calculé, comme avec InfoAssist.
  
  
• Filtre
  -> Création d'un critère (comme un WHERE SQL), prêt à être utilisé dans un rapport
  
  
• Calculer (COMPUTE)
  -> création d'une zone calculée avec les données agrégées (avec les sommes par exemple), comme avec InfoAssist
  
  Enfin le bouton "Assistant de métadonnées"
  
  
  Vous donne accès à ces options :
  
  

---

Cette version 2.1 apporte aussi une nouvelle commande pour les synonymes, en mode 5250 :

CRTWQSYN

 

Paramètres

• FILE nom du fichier ,nom générique (*) ou *ALL
• SCHEMA bibliothèque
• FILETYPE
  • *ALL tous les fichiers base de données sont traités
  • *TABLE seuls les fichiers physiques sont traités
  • *VIEW seules les vues sont traitées
  • *ALIAS Alias SQL
  • *MQT tables matérialisées
• EXCLSYSFL
  • *YES exclure les fichiers catalogues SQL
  • *NO ne pas les exclure
• EXCLSRCPF
  • *YES exclure les fichiers sources
  • *NO ne pas les exclure
• PREFIX ajouter un préfixe au synonyme
• SUFFIX ajouter un suffixe au synonyme
• APPFLR répertoire dans lequel créé les synonymes
• FRNGKEYS
  • *NO les synonymes des tables liées par contraintes ne sont pas générés
  • *YES les synonymes des tables liées par contraintes sont générés
    
• QUALIB
  • *YES le nom du schéma est mémorisé dans le synonyme
  • *NO le nom du schéma n'est pas mémorisé dans le synonyme
    
• OPTION
  • *NONE si le synonyme existe déjà, il n'est pas généré
  • *REPLACE si le synonyme existe déjà, une nouvelle version est créée
  • *REFRESH, si le synonyme existe déjà il est mis à jour, cela conserve les personnalisation que vous auriez pu faire.
• SHORTALIAS
  • *NO le nom long des colonnes est utilisé
  • *YES le nom court est utilisé

 

---

Enfin, voici la manière d'installer le plug-in Client pour Excel

Copiez les deux fichiers wsclient.xla et wsclient.cfg situés dans /QIBM/ProdData/qwebqry/base80/utilities/quickdata

placez les dans C:\Users\<votre-nom>\AppData\Roaming\Microsoft\AddIns

lancez Excel , cliquez sur Fichier / Options

choisissez Compléments / Web Query Spreadsheet Client et le bouton Atteindre

activez le plug-in

 

Ensuite, dans une feuille de calcul, utilisez

 

Indiquez un serveur

identifiez vous

Un Top Level Folder (pour les méta données)

Choisissez une source de données

Concevez votre rapport

à la sortie

 

les données sont insérées dans la feuille de calcul

la requête peut être modifiée, les données réactualisées :

---

Sauvegarde

 

Localisation des informations :

1. les synonymes ou méta-données sont stockées dans /QIBM/UserData/qwebqry/apps
   
   
2. Votre paramétrage dans dans /QIBM/UserData/qwebqry/base80
3. Si vous avez personnalisé la serveur d'application /QIBM/UserData/qwebqry/WQLWI80 | WQLIB85
4. WQRAX (accès en mode Web service) dans /QIBM/UserData/qwebqry/extension
   
   
   
5. Le reste (rapport, planning, RTE) est dans la bibliothèque QWQREPOS
   
   
   
6. Enfin les droits sont attribués par des listes d'autorisation QWQxxxxx
    le document suivant donne un exemple de CL pour les dupliquer : Backup Guide
   

Vous pouvez aussi Exporter/Importer des éléments (vous devez être administrateur pour accéder à cette fonction)



Une nouvelle fenêtre s'affiche, glissez alors les répertoires ou les rapports à sauvegarder


Puis sauvegardez


Tout se trouve dans /QIBM/UserData/qwebqry/base80/cm/export

Vous pouvez alors placer le contenu de ce répertoire dans /QIBM/UserData/qwebqry/base80/cm/import d'une autre machine et Importer




Les dernières versions (juillet 2015) proposent une nouvelle commande :

sur la machine source : QWEBQRY/MIGWEBQRY TYPE(*DIFSYS) PHASE(*SAVE)

sur la machine cible    : QWEBQRY/MIGWEBQRY TYPE(*DIFSYS) PHASE(*RESTORE)

puis
QWEBQRY/MIGWEBQRY TYPE(*DIFSYS) PHASE(*CLEANUP) sur mes deux systèmes, pour nettoyer les fichiers temporaires