Architecture IBM i
Introduction à IBM i
(notion de Gamme)
Conception et historique des Minis IBM
A la base de la conception de l'AS/400 et de son système, il
y avait la conception du System/38 devant remplacer le System/36. Le
besoin de garder les clients du System/36 à conduit à
concevoir un système pouvant faire tourner les applications System/36
sur la nouvelle machine. Le projet OS/400 mené par Franck
Soltis est né. Son nom de code de l'époque : Silverlake.

75 | 3X | | 32/34 81 | 38 | / ................................ 83 | 36 / : Minis : Gros syst.: OS/400 : | \ / ....................:............................... 88 | AS/400 : modèles B | B10/B20 | B30-B70 : V1 : | :...................|.........|...........:........: | : : D | D06-D20 | D35-D80 : V2 : | : :........|.........|...........: : | : : E | E02-E25 | E35-E90 : : | : :........|.........|...........: : | : : F | F02-F25 | F35-F97 : : | :..........:........|.........|...........:........: 95 | : Advanced | 200 | 400 : V3R10 : | : Series | | : : | .................................................... 96 | : Advanced Series | 400 | 500 : V3R60 : | :...................|.........|...........:........: 97 | : eSeries | 600 | 620 : : | : | | 630 : V4R10 : | :.........................................:........: 99 | : iSeries | 170 | 720 : : | : | 700 | 730 : V4R40 : | :.........................................:........: 2001| : System i | 270 | 8xx : V5R10 : | :.........................................:........: 2004| : i5 (i5/OS) | 520 | 550 à 595 : V5R3/R4: | :.........................................:........: 2007| : i5 (i5/OS) | 515/525| : V5R4 : ! : | (OS facturé à l'utilisateur): ! :.........................................:........: 2008! : Power System | 520/550 | 570 et + : V6R1 : ! : (IBM i ) |soft facturés à l'utilisateur : ! :.........................................:........: 2010! : Power System | 720/740 | 750 et + : IBM i : ! : (IBM i ) | | : 7.1 : ! :.........................................:........:
2014! : Power System | S814/824| E870/E880 : IBM i : ! : (IBM i ) | | : 7.2 : ! :.........................................:........:
2018! : Power System | S914/924| E980 : IBM i : ! : (IBM i ) | | : 7.3/7.4: V :.........................................:........:
A partir des modèles 400/500 la famille de processeur change (POWER-PC [technologie RISC], à 64 bits), actuellement le POWER 9
le plus puissant : 192 cœurs, 64 To de mémoire, plusieurs dizaines de Po disque.
|

Depuis 2001, chaque processeur accepte plusieurs partitions
- Pour les modèles 8xx et 270 (ISeries)
- partitions OS400 et Linux
- une partition OS400 est déclarée primaire et gère
les autres
- Pour les modèles 5xx (I5) et 7xx
- partitions IBM i , Linux et AIX
- une console externe (HMC, elle même sous linux) gère les
partitions du système.

Enfin,
IBM i intègre la technologie PASE, qui grâce à une compatibilité
binaire du processeur, permet d'exécuter des applications UNIX (AIX).
Espace
Adressable Unique de IBM i (OS/400)
Dès les débuts de la conception de l'AS/400 une technologie importante avait fait son apparition: l'espace d'adressable unique (Single Level Store). Il s'agit d'accéder aux emplacements mémoire d'un système en confondant notamment la mémoire centrale et les disques durs.
L'OS s'occupe de la répartition sur les disques considérés comme
un espace de stockage indivisible .
Espace adressable unique . Chaque octet de mémoire (principale ou sur disque) possède une adresse. Le système AS/400 considère l'ensemble de la mémoire de l'ordinateur comme un seul grand espace adressable. Il ne fait pas la différence entre la mémoire principale et la mémoire sur disque lors du stockage et du traitement.
A l'exécution si, bien sur.Mais la mémoire virtuelle règle le problème.
Un AS/400 ne dit jamais mémoire pleine (sauf disques saturés), mais si vos besoins de mémoire sont trop volumineux les temps de réponse peuvent se dégrader.
|
Ce graphique montre comment le système perçoit une configuration de mémoire principale et de mémoire sur disque comme un espace adressable unique et sans limites (pointeurs de 128 bits)
|
_______________________________ | | | | | DISQUE 1| DISQUE 2| DISQUE 3| | | | | |FICHIER A|FICHIER A|FICHIER A| | | (suite) | (fin) | |_________|_________|_________|
Étant donné la façon dont le système gère la mémoire, il n'est pas nécessaire de stocker un gros fichier dans un seul espace. Le système le divise en plusieurs parties, qu'il stocke aux endroits disponibles, sur les unités de disques. Ce schéma montre comment un FICHIER A est stocké sur trois unités de disques différentes.
Cette technique améliore les performances puisqu'elle permet de solliciter plus de disques en parallèle pour charger une information en mémoire.
|
Le système stocke tous les fichiers d'après leur nom et utilise les informations contenues dans un "répertoire" pour les localiser physiquement. Vous ferez toujours référence à un fichier par son nom. Vous n'avez pas besoin de vous préoccuper de son emplacement, ni de l'endroit où certaines de ses parties ont été stockées. Peu importe où réside un fichier, en mémoire principale ou sur disque.
Même si le système AS/400 considère l'ensemble de la mémoire comme un seul espace, le programme et les données utilisées doivent résider en mémoire principale pour pouvoir être exécutés. La suite vous explique comment le système AS/400 veille à ce qu'il y ait toujours suffisamment d'espace pour tous les programmes.
|
Mémoire virtuelle
La mémoire virtuelle donne l'impression de disposer d'une mémoire principale quasi-infinie.
Elle supprime les contraintes imposées par une quantité fixe de mémoire principale.
Dans la mémoire virtuelle de l'AS/400, un programme ou une zone mémoire sont automatiquement scindés en blocs appelés pages. (4096 octets sur les machines Power-PC).
Une application traite de la même manière une page mémoire ou une page disque.
»Si une page a besoin d'être traitée et qu'elle est en mémoire centrale, son traitement est immédiat
»Si elle est sur disque, il y a alors émission d'un défaut de page demandant à l'OS de charger la page
|
Notion d'objet et de bibliothèque
ORGANISATION DES AS400.
ORGANISATION DE L'INFORMATION
rappel :
L'ENSEMBLE DES DISQUES MAGNÉTIQUE ET DE LA MÉMOIRE CENTRALE EST CONSIDÉRÉ COMME UN TOUT APPELÉ L'ESPACE ADRESSABLE UNIQUE.
LES INFORMATIONS SERONT PLACÉES DANS L'E.A.U C'EST LE SYSTÈME QUI SE CHARGE DE LES REPARTIR DANS LES UNITÉS.
|
CETTE ORGANISATION ENTRAÎNE POUR LE SYSTÈME DE POUVOIR RETROUVER LES INFORMATIONS DANS L'E.A.U. DE MANIÈRE LOGIQUE ET ACCESSIBLE.
1.1 OBJET
DÉFINITION : EST APPELÉ OBJET TOUT ÉLÉMENT IDENTIFIE, CONTENANT SA PROPRE DESCRIPTION, ET MANIPULABLE PAR LES COMMANDES DU SYSTÈME, qui le protègent (encapsulation)
EX: LES PROGRAMMES (type *PGM), LES FICHIERS (type *FILE)
IL N'EST PAS POSSIBLE DE CRÉER UN NOUVEAU TYPE.
La cohérence et la stabilté de l'OS/400 sont dues à cette notion d'objet.
|
IDENTIFICATION : UN OBJET EST IDENTIFIE PAR 3 ÉLÉMENTS
- SON NOM DONNÉ PAR LE CRÉATEUR DE L'OBJET (10 C. maxi, doit commencer par une lettre) Insensible à la casse
- SON TYPE EX : *FILE (POUR LES FICHIERS base de données et unités) *PGM (POUR LES PROGRAMMES) *CMD (POUR LES COMMANDES) *MSGQ (File d'attente [boite aux lettres] messages) *MSGF (Fichier messages, contient les messages prédéfinis) ETC...
le type induit un comportement (d'où le mot "objet")
on ne peut pas mettre à jour un programme ni exécuter un fichier.
on ne peut pas changer le type d'un objet.
- SA BIBLIOTHÈQUE DE RATTACHEMENT
Associations possibles:
Même bibliothèque, même nom et types différents
Bibliothèques différentes, même nom et même type
Même bibliothèque, noms différents et même type
|
COMPOSANTS D'1 OBJET:
UN OBJET EST COMPOSÉ 1)- PARTIE ATTRIBUTS QUI CONTIENT LES DE 2 PARTIES : RENSEIGNEMENTS SUR L'OBJET
c'est la partie "publique"
+ - SON NOM - SON TYPE - SA BIBLIOTHÈQUE - SON TEXTE DESCRIPTIF (50 c.) - DATES DE CRÉATION/ DE MODIF / DE SAUVEGARDE... - CRÉATEUR et PROPRIÉTAIRE etc...
+ - SES AUTORISATIONS
La gestion des droits est toujours la même quelque soit
l'objet puisque tout est objet
2)- LA PARTIE OBJET EN LUI-MÊME
C'est la partie "privée", il faut un assesseur pour y accéder
PAR EXEMPLE POUR UN PROGRAMME, LE PROGRAMME EN LANGAGE MACHINE (LE PROGRAMME compilé))
|
------------------- ! Description ! OBJET DE L'AS/400 partie ATTRIBUTS !-----------------! visible ! Autorisations ! (publique) ------------- !-----------------! -------------------------------------- ! ! ! enregistrements ! partie cachée OBJET EN ! si *FILE ! spécifique à ! ! chaque type. LUI-MÊME ! instructions ! ! machine, ! ! si *PGM ! ! ! !------------------
CRÉATION : TOUS LES OBJETS UTILISATEURS SERONT CRÉES PAR UNE COMMANDE DE CRÉATION (CRTxxx). C'est lors de la création que seront donnés le nom et la bibliothèque. le type lui est indiqué par la commande.
|

La définition
d'un utilisateur est un objet *USRPRF
(on enregistre les
caractéristiques et les droits de
cet utilisateur)
la définition
d'un périphérique
(écran ou imprimante) aussi :
Unité ou *DEVD
BIBLIOTHÈQUE ------------
UNE BIBLIOTHÈQUE EST UNE LISTE D'OBJETS, ON POURRAIT COMPARER UNE BIBLIOTHÈQUE AU RÉPERTOIRE DES LIVRES D'UNE BIBLIOTHÈQUE RÉELLE.
IL RÉPERTORIE TOUS LES LIVRES DE LA BIBLIOTHÈQUE ET INDIQUE L'ENDROIT PHYSIQUE OU SE TROUVE LES LIVRES.
TOUT OBJET EST RATTACHÉ A UNE BIBLIOTHÈQUE ET UNE SEULE. --- ---------
les objets systèmes (utilisateurs et périphériques sont rattachés à QSYS) pour garantir l'unicité des objets, par exemple un utilisateur sera unique.
|
LISTE DE BIBLIOTHÈQUES ----------------------
CHAQUE OBJET EST RATTACHE A UNE BIBLIOTHÈQUE
LORSQUE VOUS VOUDREZ UTILISER UN OBJET VOUS DEVREZ INDIQUER SON NOM ET SA BIBLIOTHÈQUE.(QUALIFIER)
LE SYSTÈME NOUS PERMET DE GÉRER SIMPLEMENT LES OBJETS, POUR CELA NOUS ASSOCIERONS A CHAQUE TRAVAIL UNE LISTE DE BIBLIOTHÈQUES.
CETTE LISTE DE BIBLIOTHÈQUES CONTIENDRA TOUTES LES BIBLIOTHÈQUES NÉCESSAIRES POUR LE TRAVAIL. LORSQUE VOUS DEMANDEREZ L'UTILISATION D'UN OBJET VOUS N'INDIQUEREZ QUE SON NOM ET LE SYSTÈME IRA CHERCHER DANS CHACUNE DES BIBLIOTHÈQUES L'OBJET QUE VOUS RECHERCHEZ.
IL ARRÊTERA SA RECHERCHE DES QU'IL AURA TROUVE L'OBJET RECHERCHE.
CETTE LISTE DE BIBLIOTHÈQUES PEUT ÊTRE MODIFIÉE A N'IMPORTE QUEL MOMENT GRÂCE A DES COMMANDES. CHGLIBL (Change Library List) par ex.
|
UN EXEMPLE: AU DÉBUT DE VOTRE TRAVAIL VOUS AVEZ LA LISTE DE BIBLIOTHÈQUES SUIVANTE: "BIB1 BIB2 BIB4" (le séparateur est l'espace)
CETTE LISTE NE VOUS CONVIENT PAS IL VOUS FAUDRAIT "BIB3 BIB1 BIB5"
POUR LA MODIFIER VOUS UTILISEREZ LA COMMANDE CHGLIBL
CHGLIBL LIBL(BIB3 BIB1 BIB5)
L'ORDRE DE DÉCLARATION DES BIBLIOTHÈQUES DANS LA LISTE EST TRÈS IMPORTANTE, ELLE CONDITIONNERA L'ORDRE DE RECHERCHE DANS LES BIBLIOTHÈQUES
PRENONS L'EXEMPLE SUIVANT:
CALL PROGA call est une commande qui permet l'exécution d'un programme, PROGA étant le nom du programme.
|
DANS CET EXEMPLE NOUS N'AVONS PAS INDIQUÉ LE NOM DE LA BIBLIOTHÈQUE. LE SYSTÈME RECHERCHERA DONC LE PROGRAMME DANS LES BIBLIOTHÈQUES DE *LIBL (en commençant par la première de la liste, ici BIB3)
BIB3 BIB1 BIB5 ...................... ....................... ...................... : ! : : ! : : ! : --->PROGA ! FICHF : : PROGZ ! PROGD : : PROGG ! FICHL : ! : ! : : ! : : ! : ! :--------------------: :---------------------: :------------------ -: ! : ! : : ! : : ! : ! : PROGF ! FICHK : : PROGA ! FICHI : : FICHA ! FICHO : ! : ! : : ! : : ! : ! :....................: :.....................: :....................: ! !-------------------> Programme sélectionné
|
MAINTENANT SI J'EXÉCUTE LES COMMANDES SUIVANTES
CHGLIBL LIBL(BIB1 BIB3 BIB5) CALL PROGA
PROGA de BIB1 sera sélectionné
D'AUTRES COMMANDES NOUS PERMETTENT DE MODIFIER LA LISTE DE BIBLIOTHÈQUES
- ADDLIBLE (permet d'ajouter une bibliothèque à la liste)
PRENONS LA LISTE SUIVANTE: BIB3 BIB1 BIB5 SI J'EXÉCUTE LA COMMANDE ADDLIBLE BIB2 NOTRE LISTE DEVIENDRA : BIB2 BIB3 BIB1 BIB5
- RMVLIBLE (permet d'enlever une bibliothèque de la liste)
SI J'EXECUTE LA COMMANDE RMVLIBLE BIB1 NOTRE LISTE DEVIENDRA : BIB2 BIB3 BIB5
- EDTLIBL (modification de la liste à l'écran)
|
Quelques exemples
Bibliothèque manquante

on l'ajoute

EDTLIBL

le progamme est trouvé !

RÈGLES ------
- TOUT TRAVAIL DOIT DISPOSER D'UNE LISTE DE BIBLIOTHÈQUES
- ELLE EST REMPLAÇABLE A TOUT MOMENT
CHGLIBL, ADDLIBLE, RMVLIBLE
- 25 BIBLIOTHÈQUES AU MAXIMUM DANS LA LISTE (250 en V5)
- ELLE EST SYMBOLISÉE PAR LE MOT RÉSERVÉ *LIBL
- IL NE PEUT EXISTER DEUX OBJETS DE MÊME NOM ET DE MÊME TYPE, RATTACHES A UNE MÊME BIBLIOTHÈQUE.
- TOUT OBJET DOIT ÊTRE SUPPRIMÉ DE LA BIBLIOTHÈQUE. AVANT DE POUVOIR ÊTRE RÉCRÉÉ
- IL SERA SUPPRIMÉ PAR UNE COMMANDE DLTxxx (xxx étant le type de l'objet et DLT étant définitif)
|
Structure d'origine de l'Espace Adressable Unique - QSYS est le point d'entrée (c'est aussi la bibliothèque système) - Certains objets ne peuvent être attachés qu'à QSYS (profil,unité) - Seul QDOC (qui est une "extension" à l'EAU) supporte les arborescences. ................................QSYS..................................... : / \ \ _ ______________ : : / \ \ |-QSECOFR (root) : : / \ \ |-DSP01 (console) : : / \ \ : : QDOC(DLS) COMPTA \- PAIE : : / \ | | : : / \ |-fic1 |-fic11 : : dossier1 QIWSFLR | | : : / \ \ |-fic2 |-fic12 : : / \ \ | : : / \ PCSADM.EXE |-pgm1 : : sous-dossiera document1 : : / \ : : / \ : : doca1.doc doca2.doc : :.......................................................................:
|
V3R10 : Structure IFS. "root" ................................ / ...................................... : -------------------/ /| \------------------\ : : / / / / | \home \ : : / / / | | \QNT & QNTC : : / QOpensys / | QSYS.lib _____________ : : / (UNIX "like") / | \ \ | : : madir / / | \ \ |-QSECOFR.USRPRF : : | / \ / QOPT \ \ |-DSP01.DEVD : : | / user / /\ \ \___ : : / bin QDLS \ COMPTA.lib PAIE.lib : : / \ / \ (Cd-Rom) | | : : / \ / \ |-fic1.FILE |fic11.FILE : :dir1 \ dossier1 QIWSFLR | | : : dir2 / \ \ |-fic2.FILE |fic12.FILE : : / \ \ | ###################### : : / \ PCSADM.EXE |-pgm1 # # : : sous-dossiera document1 # la branche QSYS # : : / \ # est inchangée # : : / \ # (non arborescente) # : : doca1.doc doca2.doc ###################### : :.......................................................................:
|
Chaque profil se voit attribuer un répertoire initial (HOMEDIR)
(Normalement /home/nom-du-profil)
Chaque travail possède un répertoire en cours (CURDIR)
par défaut le répertoire "home/profil"
modifiable par CHGCURDIR ou CD comme sous DOS !!!
le chemin peut être indiqué relativement au répertoire en cours.
-> dir1/fichier.doc (on utilise le "/")
ou sous forme de chemin absolu à partir de la racine -> /dir1/fichier.doc
la commande WRKLNK donne accès à l'arborescence complète ainsi que le produit "Operation navigator" livré sur le Cd de Client Access.
un Editeur de fichier stream (ou fichier à plat) est livré depuis la V4R40 : EDTF
|

ici,
la commande WRKLNK montre la racine (/)
le nouvel émulateur (IBMi Access Client Solution) propose un accès à l'IFS (menu ACTION)


ainsi que Navigator for I (un accès graphique via un navigateur sur le port 2001)

Les commandes (syntaxe)
LES COMMANDES
LES COMMANDES SONT DES ORDRES DONNES AU SYSTEME POUR L'EXECUTION DE CERTAINES TACHES.
IL EXISTE ENVIRON 1500 COMMANDES SUR L'AS, ELLES SONT TOUTES CONCUES DE LA MEME FACON.
1 SYNTAXE
UNE COMMANDE EST COMPOSEE DE 2 PARTIES PRINCIPALES.
L'action à exécuter + les paramètres de la commande
VERBE + MOTS-CLES
Les commandes permettent en particulier de manipuler les objets
Si les paramètres sont nommés alors l'ordre n'a pas d'importance
Indiquer entre '' les caractères spéciaux ou les espaces
===> à l'aide de la commande on indiquera l'action à effectuer et grâce aux paramètres le nom de l'objet que l'on veut manipuler.
|
1 SYNTAXE (suite)
Pour séparer la commande du 1er mot clé et chacun des mots-clés on utilise le caractère blanc.
Si l'on veut qualifier un objet par le nom de sa bibliothèque de rattachement on indiquera BIBLIOTHEQUE/OBJET
Le nom de la commande est composé généralement d'un verbe (l'action) sur 3 lettres et du type de l'objet que l'on veut manipuler.
Exemple de verbes commençant les commandes
CRT create (créer un objet)
DLT delete (supprimer un objet)
CHG change (changer un objet)
ADD add (ajouter une partie à un objet)
RMV remove (enlever une partie à un objet) etc...
|
1 SYNTAXE (suite)
Si je veux créer un utilisateur j'utiliserai la commande
CRTUSRPRF USRPRF(nom de l'utilisateur) ! ! ! ------------------------------------ ! Paramètre de la commande indiquant ! le nom de l'utilisateur à créer ------------- CReaTe USeR PRoFile
Si je veux supprimer un programme j'utiliserai la commande
DLTPGM PGM(bibliothèque/nom du programme) ! ! ! ------------------------------------ ! Paramètre de la commande indiquant ! le nom du fichier à supprimer ------------- DeLeTe ProGraM
|
L'écran de commandes nous permet de demander l'exécution des commandes :
cet écran est appelé par CALL QCMD (c'est un peu command.com sur AS)
- F9 permet de retrouver une commande précédente
- F10 vous affiche toutes les commandes de votre session
Sur cet écran nous
allons pouvoir demander l'exécution
d'une commande ,
par exemple la
création d'un nouvel utilisateur
En dessous de la commande que vous avez frappé apparaissent des
messages indiquant le résultat de la demande d'exécution de la commande.
Il est très important de lire ces messages pour savoir si la commande a été exécutée
avec succès ou non, et si non, connaître les raisons de cet insuccès.

Il est possible que le message ainsi affiché ne soit pas très clair
ou alors qu'il soit incomplet. Vous pouvez demander un complément
d'information sur le message en positionnant le curseur sur le
message désiré et en appuyant sur la touche AIDE (F1).
C'est ce que nous allons faire en nous positionnant sur le message
"Le
profil utilisateur existe déja".

Le message apparaît dans la langue de l'utilisateur (sauf les messages d'erreur réseau)
C'est le code d'erreur ( ici CPF2214) qui permettra une recherche sur internet
Si vous n'avez plus en
mémoire les différents
paramètres ou si vous souhaitez de l'aide quant aux valeurs
pour
un paramètre, demandez l'invite (ou Guide
opérateur) en
appuyant sur F4. |

Sur cet écran d'invite, remarquons :
les champs obligatoires en Haute intensité
les champs facultatifs en intensité simple (avec une valeur par défaut).
les touches de fonction :
F1 qui vous affiche l'aide en fonction de la position curseur.
F3/F12 pour annuler la commande
F10 affiche des paramètres de moindre importance (par défaut on vous affiche les principaux paramètres)
F11 affiche en alternance : - un extrait des val. possibles à droite - le nom de chaque paramètre à gauche
F13 vous explique en détail tout cela et plus encore.
|
Principaux verbes des
commandes CL
ADD ajouter RMV enlever APY appliquer CFG configurer CHG modifier CHK vérifier CLR mettre à blanc CPY copier CRT créer DLT supprimer CVT convertir DCL déclarer DSP afficher DUP dupliquer EDT réviser GRT accorder RVK révoquer HLD suspendre RLS libérer INZ initialiser MOV déplacer OPN ouvrir CLO fermer OVR substituer RNM rebaptiser SAV sauvegarder RST restaurer SBM soumettre SND envoyer RCV recevoir STR démarrer END arrêter WRK gérer
|
Sujets : CFG configuration SQL commandes SQL CMD commande SRV maintenance CTL contrôleur SYS système DBF fichier B de D. USR utilisateur DEV unité WS Poste de travail DKT disquette WTR éditeur JOB travail(JOBD, JOBQ) LIB bibliothèque ... etc ... LIN ligne(LIND) LOG historique OUT sortie(OUTQ) SAV sauvegarde(SAVF) SBS sous-système(SBSD) SPL Spool(SPLF)
|
Commandes importantes
Commande ! libellé ! cde inverse ADDLIBLE ! ajouter bibliothèque à *LIBL ! RMVLIBLE EDTLIBL ! réviser *LIBL ! ! ! CRTLIB ! créer une bibliothèque ! DLTLIB SAVLIB ! sauvegarder ! RSTLIB ! ! WRKOBJ ! obtenir une liste d'objet à gérer !
WRKOBJ *LIBL/DRH*
==> tous les
objets commençant par DRH dans la liste de bibliothèques
WRKOBJ
*ALL/DRH*
==> tous les objets commençant par DRH dans toutes les
bibliothèques
WRKOBJ PAIE/DRH* *PGM ==> tous les programmes
commençant
par DRH dans la bibliothèque PAIE
WRKOBJ PAIE/*ALL
==>
tous les objets de la bibliothèque PAIE
|
WRKLIB ! " " " de bibliothèques ! WRKF ! " " " de fichiers ! WRKLNK ! gérer les liens des fichiers IFS (stream)! ! ! CALL ! lancer un programme ! ! ! GO ! lancer un menu (GO ASSIST par ex.) ! ! ! SNDMSG ! envoyer un message impromptu ! ! (non défini dans un fichier message) ! WRKMSG ! gérer ses messages (dans une MSGQ) ! CHGMSGQ ! modifier la réception des messages ! ! DLVRY(*BREAK ou *HOLD) !
|
Commandes opérateur (nous en verrons le sens plus loin)
Commande ! libellé ! ! ! Travaux ! ! ! ! WRKUSRJOB ! gérer les travaux d'un utilisateur ! WRKJOBQ ! gérer les travaux en attente ! WRKSBS ! gérer les sous systèmes actifs ! WRKACTJOB ! gérer les travaux actifs ! ! ! Spools ! ! ! ! WRKSPLF ! gérer les états d'un utilisateur ! WRKOUTQ ! gérer les files d'attentes imprimantes ! ! ! Editeurs ! ! ! ! WRKWTR ! gérer les éditeurs d'imprimantes ! ! !
Espace disque ! ! ! ! WRKDSKSTS ! Analyse espace et activité disques ! RTVDSKINF ! Récupération d'informations globales ! PRTDSKINF ! Impression des informations collectées !
|
Les différents
systèmes d'aide IBM i
Il existe différents moyens de se faire aider sur AS/400.
1/ utiliser la touche aide (souvent fonction de la position curseur)
2/ utiliser les menus (GO xxxxxx)
il existe des menus CMDxxx où xxx représente le verbe d'une commande CMDADD,CMDCRT,CMDDLT,...
tous ces menus sont répertoriés dans le menu VERB
puis des menus CMDzzz où zzz représente un sujet CMDOBJ,CMDLIB,CMDPGM,...
tous ces menus sont répertoriés dans le menu SUBJECT
Les menus VERB,SUBJECT, et des menus thématiques sont répertoriés dans MAJOR (c'est le menu qui vous sera affiché si vous faites F4 sur une ligne de commande vierge)
|
A NOTER : la commande GO accepte les noms génériques la commande SLTCMD accepte les noms génériques
Depuis la V2R30 vous pouvez saisir directement un nom générique
Deux menus sont très pratiques pour obtenir des renseignements
1/ GO INFO
1. Recherche d'informations 2. Commentaires
10. Nouveautés
20. Démarrage d'InfoSeeker (BookManager) 21. Formation en ligne
Malheureusement ce menu a été vidé de son sens depuis la V4 qui livre la documentation sur CD PC ou directement en ligne aux sites suivants:
|
2/ GO ASSIST
 Orienté utilisateurs
et les menus d'ASSISTANT/400
Depuis la V2R10 intégré dans l'OS/400, utilisé par beaucoup de commandes WRK...,l'écran est fonction du niveau de l'utilisateur.
Pour chaque utilisateur (profil), le paramètre ASTLVL définit le niveau d'assistance souhaité (modifiable par F21, option par option) :
*BASIC (débutant => écrans assistant)
*INTERMED (initié => écrans système touches de cdes affichées)
*ADVANCED (expérimenté => idem initié mais "plein écran") 
|
ASSISTANT/400 :
Les commandes utilisant le niveau d'assistance sont:
+ WRKCFGSTS Gestion état de la configuration + WRKMSG Gestion des messages + WRKUSRJOB Gestion des travaux + WRKUSRPRF Gestion des profils + WRKSPLF Gestion des spoules + WRKWTR Gestion des éditeurs
Les principaux menus sont
+ SETUP Définition du système + ASSIST Taches courantes d'un utilisateur ou d'un op
+ DEVICESTS Gestion des unités + BACKUP Tâches de sauvegarde + POWER Mise hors/sous tension du système + CLEANUP Tâches de ménage
|
Si vous souhaitez des informations (y compris lorsque vous êtes "entrée verrouillée") utilisez l'appel système
(touche MAJ + "Syst" [la même que ATTN mais en majuscule].)
1: session alternée = TFRSECJOB 2: annulation de la dernière demande = ENDRQS 3: infos sur le travail en cours = DSPJOB(10 = historique du travail) 4: affichage de vos messages = DSPMSG 5: envoi de messages = SNDMSG 6: messages de l'opérateur = DSPMSG QSYSOPR 7: affichage de l'utilisateur = DSPWSUSR
80: pause = DSCJOB
90: arrêt du travail = SIGNOFF
|
TRAVAUX
gestion des travaux
GESTION DES TRAVAUX -------------------
INTRODUCTION ------------
L'AS/400 distingue 4 types principaux de jobs
- Job interactif, commence quand un utilisateur se signe sur un écran, se termine lorsque l'utilisateur se désigne (SIGNOFF).
- Job batch, commence quand le travail est sélectionné d'une job queue
- Fonction spools (Editeur)
- Jobs à démarrage automatique utilisé pour exécuter des travaux répétitifs ou des travaux d'initialisation. Ils sont associés à des sous-systèmes, à chaque démarrage du sous-système le job s'exécutera.
|
Tous les jobs s'exécutent dans un environnement appelé sous-système.
Un groupe de jobs avec des caractéristiques communes peut être contrôlé indépendamment des autres jobs, si ces jobs sont placés dans un même sous-système. Ces sous-systèmes peuvent être aisément démarrés ou arrêtés, pour des besoins d'exploitation.
 Un sous-système appelé le sous-système de contrôle est automatiquement démarré quand l'OS est démarré. (normalement les jobs de la console sont initialisés dedans)
Un travail ne peut s'exécuter dans un sous-système que si celui-ci est démarré.
les travaux interactifs s'exécutent souvent dans QINTER,les batchs dans QBATCH, les travaux de télécommunication dans QCMN, les serveurs WEB dans QHTTPSVR les travaux pour dialoguer avec les PCs dans QSERVER et les démons IP dans QSYSWRK.
Les fonctions spool (éditeur) sont initialisées dans un sous-système particulier (QSPL)
|
Pour les travaux BATCH, il y a file
d'attente (JOBQ) afin d'empiler les demandes avant traitement.
On peut multiplier les JOBQ,
multiplier les sous-systèmes

==> Choisir une JOBQ, c'est
(indirectement) choisir un sous-système.
Vue d'ensemble du
système
D'où viennent les paramètres d'un JOB
1/ certains viennent des valeurs système
paramètre unique sur une machine comme la date, l'heure, le N° de série
2/ le profil utilisateur (DSPUSRPRF) référence une JOBD à utiliser indiquant :
- les priorités en file d'attente OUTQ et JOBQ - les files d'attentes et imprimantes par défaut - la liste de bibliothèque (*LIBL) - et autres paramètres ...(DSPJOBD pour les voir)
3/ le sous système lui, indique une classe (objet *CLS) qui précise
- priorité machine - temps maximum de prétention à la CPU
dans le cadre du multi-tâche préemptif.
pour voir les paramètres d'un travail, DSPJOB :
1 : affiche l'état du travail (utilisateur, sous système, date d'entrée) 2 : affiche les attributs de définition, donnés par la JObD, dont son nom 3 : affiche les attributs d'exécution donnés par la classe
10 : affiche l'historique des commandes passées et les messages associés (DSPJOBLOG)
|
Les jobs sont placés dans une job queue par la commande suivante:
- SBMJOB
pour changer certains paramètres ou changer de JOBQ: CHGJOB
paramètres importants :
SBMJOB
CMD(la commande à soumettre)
JOB(le nom du job, mettez un nom qui VOUS parle)
JOBD(avec quelle JOBD)
JOBQ(dans quelle JOBQ)
|
Une JOBD permet d'initialiser mes paramètres suivants :
- Liste de bibiothèques (*LIBL)
- priorités (en entrée[JOBQ], et en sortie[OUTQ].)
- JOBQ à utiliser par défaut (si ce JOB soumet d'autres jobs)
- niveau d'historique (plus ou moins complet)
- texte de pied de page sur les états
- imprimante et file d'attente à utiliser pour les impressions
par défaut la file d'attente est celle associée à l'imprimante, et l'imprimante peut être associée au profil (fonction de la personne) ou (par défaut) à l'écran.(fonction de l'endroit où ce trouve cette personne)
|
La planification des travaux :
Elle peut s'effectuer de deux manières
1/ occasionnelle > paramètres SCDDATE et SCDTIME de la cde SBMJOB.
le travail est soumis "holdé" et sera libéré à la date et heure indiquée.
2/ régulière > commande WRKJOBSCDE.
les références sont enregistrées dans un fichier et le système soumettra à la date(ou fréquence) et heure indiquées
Les références seront conservées dans le fichier pour la prochaine soumission.
Une fois le job terminé le poste du fichier de planification est mis à jour (date de dernière exécution,..)
|

Quelques commandes utiles. --------------------------
retrouver les jobs d'un utilisateur :
WRKUSRJOB USER * un-nom *ALL
STATUS *ALL *JOBQ *ACTIVE *OUTQ
JOBTYPE *ALL *INTERACT *BATCH
|
retrouver les jobs d'un sous système
WRKSBSJOB
(WRKSBS donne la liste des sous systèmes actifs)
retrouver TOUS les jobs actifs
WRKACTJOB
(F16 pour trier suivant une colonne précise)
Voir les JOBQs (et leur attachement sous-système)
WRKJOBQ
voir les jobs en attente dans une JOBQ
WRKJOBQ un-nom
|
ARRET ET DEMARRAGE DES SOUS SYSTEMES ------------------------------------
STRSBS start sub-system
ENDSBS end sub-system
ou
ENDSYS (= ENDSBS *ALL )
ARRET DU SYSTEME ----------------
PWRDWNSYS power down system
|
Navigator for I
Il s'agit de la nouvelle
interface graphique orientée WEB (sur le port 2001, vous serez redirigé)
On peut raisonnablement
penser que la plupart (sinon toutes) les commandes de
paramétrage de l'OS pourrons se faire par le biais de ce produit.
Déjà, certaines actions ne sont disponible QUE sous Navigator.
Les actions proposées sont les suivantes :

vous pourrez
- voir vos messages, les détruire
- répondre aux questions
- envoyer des messages
Pour envoyer, Menu Action

Choisissez vos utilisateurs par survol
 |
Les boutons survol proposent toujours une liste, suivant le
contexte.
ICI, liste des utilisateurs ou liste des terminaux
(écrans). |
- Liste des travaux

Nous pouvons modifier les critères de
sélection, par Action/inclusion :

les actions possibles sont (entre autre) :
- Voir les spools produits par ce travail
- voir l'historique de ce travail
- Détails, voir les pgms actifs, les fichiers ouverts , ....
- Répondre aux messages
- Suspendre et libérer le JOB
- Déplacer (s'il est en JOBQ)
- et voir/gérer les paramètres de ce travail (Propriétés)

Vous avez aussi
- La gestion des travaux actifs:

affiche l'équivalent de la commande WRKACTJOB
- La liste des sous-systèmes actifs
- La liste des JOBQ
- La liste des OUTQ
gestion des spools
TRAVAUX SPOOLS EN SORTIE
LA FONCTION SPOOL PERMET :
- Le dialogue avec les unités lentes
- Le partage des unités non partageables
(ex: imprimante )
- La dissociation du traitement des sorties et les sorties réelles
- Elle s'exécute dans le sous-système spool (QSPL en standard)
- Les travaux seront soumis par la commande STRxxxWTR. (PRT ou RMT)
|
DISSOCIATION DU TRAITEMENT DES SORTIES ET LES SORTIES REELLES Cette dissociation se fera grâce:
- à l'interception des ordres d'écriture vers l'imprimante
- à l'écriture réelle vers les supports externes
LES OUTILS DE CETTE DISSOCIATION
Le fichier spool
Lors de la demande de l'impression par un JOB les lignes d'édition seront non pas envoyées à l'imprimante mais interceptées par la fonction spool qui les enverra dans un membre d'un fichier spool.
Chaque membre d'un fichier spool est identifié par le nom du fichier d'impression qui a permis la création de ce membre spool et par des informations sur le travail qui a permis la création de ce membre spool.
|
La file d'attente de sortie (OUTQ)
Chaque membre d'un fichier spool est référencé ("placé") dans une file d'attente de sortie (Output queue).
Cette file d'attente de sortie peut être considérée comme une "imprimante logique".
Elle contiendra les membres spools qui lui ont été rattachés. Il peut exister plusieurs OUTQ dans notre E.A.U..
Le fichier d'impression(PRTF).
Interface externe entre le programme (ou la commande) produisant un état à imprimer et l'unité d'impression.
Devra être créé avant son utilisation
Contient les informations caractérisant l'état à imprimer Nombre de lignes - nombre de caractères par ligne file d'attente de sortie - densité etc....
|
Les paramètres importants d'un PRTF (modèle de spool)
FORMSIZE 66 nombre de lignes par page 132 nombre de caractères par ligne
LPI 6 nombre de lignes au pouce (Line Per Inch) CPI 10 nombre de caractères au pouce (Character Per Inch)
OUTQ *JOB File d'attente où sera placé le fichier spool ou *JOB celle associée au travail. nom d'outq
HOLD *NO état du fichier spool dans la file d'attente ou *YES *YES le fichier spool sera retenu *NO le fichier est dans l'état prêt
SAVE *NO Conserver ou non le fichier spool dans ou l'OUTQ une fois édité *YES
|
Le fonctionnement se déroule en 2 étapes :
1 INTERCEPTION DES ORDRES D'ECRITURE. __________________________________ ____________ ! ! !paramètres! FICHIER ! ! !--> ! CPI= ! IMPRIMANTE ! _________________ ! ! ! ! LPI= ! ! ! ! ! ! ! ! ..... ! ! ! OPEN FICIMP --!----------------! ! !__________! ! ! ___________ ! ! ! ! ! ___________ ! ! ! ____________ ! ! ___________ ! ! ! ! ref adr ! OUTQ ! ! WRITE --------!----------------! !>!SP01 xxxx!------------ ! !_______________! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !__________! ! !________________________________! v ! _________ ! <_________> FICHIER <--------! ! ligne1 ! SPOOL ! ligne2 ! !_________!
|
a) A l'ouverture du fichier le système récupère dans le fichier d'impression les caractéristiques du fichier.
- caractéristiques de l'état - nom de la file d'attente de sortie - paramètres du spool
b) Il crée un membre dans un fichier spool avec ces caractéristiques (l'OUTQ étant celle indiquée par le fichier d'impression).
c) Les écritures viennent se placer dans le membre du fichier spool
|
2 EDITION REELLE (1er cas, imprimante connectée à l'AS/400)
- A un instant donné on relie une file d'attente
de
sortie
à une unité physique (imprimante).
Tous les fichiers prêts à être édités de cette file
d'attente
seront édités sur l'unité physique .
• Une file d'attente ne peut à un instant donné
alimenter qu'une seule unité physique.
• La liaison (OUTQ - IMPRIMANTE) se fait grâce
à une commande STRPRTWTR
• Il est possible de sélectionner le TYPE de papier
(listing, 80 colonnes, doubles exemplaires,...)
seuls les états du type indiqué seront imprimés.
Sans paramètre, l'éditeur imprime tous les Types, avec gestion par message quand celui-ci change.
|
 |
|
2 EDITION REELLE (2éme possibilité, serveur d'impression)
- A un instant donné on relie une file d'attente de sortie à un serveur d'impression éloigné
Ce serveur peut être un autre AS/400, un serveur d'impression NT/Unix Ou un boitier / attachement réseau imprimante implémentant LPD
si le serveur n'est PAS un autre AS/400, l'AS/400 local convertira le spool en ascii ET TRANSFORMERA LE FLOT EN FLOT COMPRÉHENSIBLE PAR L'IMPRIMANTE ÉLOIGNÉE (fonction Host Print Transform)
- l'AS/400 gère de nombreux format dont le PCL5 (plus JET direct) et le postscript
- La liaison (OUTQ -serveur) se fait grâce à une commande STRRMTWTR
- L'AS/400 local ne se considère pas responsable des erreurs imprimante
|
LA PRATIQUE
- Les différents travaux que vous allez effectuer vont générer des listes ===> des fichiers spools.
- Vos fichiers spools ne sortent pas sur l'imprimante
- Plusieurs raisons sont à considérer
1 L'imprimante n'est pas active
2 L'imprimante est en cours d'impression avec une autre OUTQ que celle où sont placés vos fichiers spools
3 L'imprimante est active avec l'OUTQ de vos fichiers spools mais elle sort d'autres fichiers spools.
4 Vos fichiers spools ne sont pas prêts.
5 Vos fichiers spools ne sont pas du type de papier indiqué.
|
Quelle que soit la raison de la non sortie de vos fichiers spools. Une des premières actions à effectuer est de visualiser l'OUTQ contenant vos fichiers spools. Dans la plupart des cas ils se retrouveront dans l'OUTQ PRT01 (nous verrons plus loin comment retrouver l'OUTQ de vos fichiers spools).
La commande pour visualiser les fichiers spools est WRKOUTQ.
Gerer une File Attente Sortie (WRKOUTQ)
File d'attente en sortie: OUTQ *ALL Bibliothèque:
Sortie (* ou *PRINT): OUTPUT *
Etudions le paramètre OUTQ de cette commande
OUTQ *ALL vous indiquerez ici le nom de l'outq que vous voulez visualiser. Par défaut la valeur *ALL sera prise
Regardons le résultat de cette visualisation.
|
Gestion de toutes les files d'attente de sortie
Indiquez vos options, puis appuyez sur ENTREE. 2=Modifier 3=Suspendre 5=Gérer 6=Libérer 8=Description
Opt File Biblio Fich Editeur Etat QDKT QGPL 0 RLS QPFROUTQ QGPL 0 RLS QPRINT QGPL 0 RLS QPRINTS QGPL 10 RLS QPRINT2 QGPL 2 RLS 5 PRT01 QUSRSYS 2 PRT01 RLS PRT02 QUSRSYS 0 RLS QSUPPRT QUSRSYS 0 RLS TAAOUTQ TAATOOL 0 RLS
Commande ===> F3=Exit F4=Invite F5=Réafficher F12=Annuler F24=Autres touches
|
Chaque ligne correspond aux informations sur une OUTQ
Détaillons une ligne
File Biblio Fich Editeur Etat PRT01 QUSRSYS 2 PRT01 RLS ! ! ! ! ! ! ! ------! ! ! ! ------------------ ! ------------------ ! ! bibliothèque de ! si l'outq est en ! ! rattachement de ! cours d'impression ! ! l'outq ! nom de l'éditeur ! ! ! ! ----------------- ------------------ -------------------- Nom de l'outq nombre de fichiers Etat de l'outq spools contenus dans cette outq HLD retenu RLS libérée
|
Regardons le résultat de l'option 5 :
Gestion de file d'attente de sortie
File: PRT01 Biblio: QUSRSYS Etat: RLS/WTR
Indiquez vos options, puis appuyez sur ENTREE. 2=Modifier 3=Suspendre 4=Supprimer 5=Afficher 6=Libérer 8=Attributs
Opt Fichier Utilisat Référence Etat Pages Ex Imprimé Pté LISTE QPGMR POINTAGE WTR 1 1 *STD 5 PRESENCE QPGMR LSTSTG RDY 2 1 *STD 5 QSYSPRT QSECOFR HLD 2 1 *STD 5 COMPTA QUSER HLD 2 1 *STD 5
Fin Paramètres pour l'option 2 ou commande ===> F3=Exit F11=Vue 2 F12=Annuler F22=Imprimantes F24=Autres touches
|
Chaque ligne correspond aux informations sur un fichier spool
Détaillons une ligne.
Fichier Utilisat Référence Etat Pages Ex Imprimé QSYSPRT QSECOFR ! HLD 2 1 *STD ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! --------- ! ! ! ! ! ! nombre de ! ! ! ! ! ! pages ! ------ ! ! ! ! ! type d' ! ! ----------- ! ! imprimé ! ! références ! -------- ! ! utilisateur ! nombre de ! ! !----------! copies ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! --------------- --------------------------- ------------------------ nom du fichier identification du profil état du fichier spool d'impression ayant créé ce fichier spool WTR en cours d'édition ayant permis RDY prét à l'édition la création du HLD retenu fichier spool OPN en cours de remplissage. SND en cours d'envoi (serveur) PND en cours de transformation (Host Print Transform)
|
De plus deux lignes en haut de l'écran vous indiquent les différentes actions que vous pouvez effectuer.
2=Modifier 3=Suspendre 4=Supprimer 5=Afficher 6=Libérer 8=Attributs
2-CHGSPLFA (modifier un spool , changer d'OUTQ par exemple) 3-HLDSPLF (retenir) 4-DLTSPLF (détruire) 5-DSPSPLF (voir le contenu, faites F1 pour plus de détails)) 6-RLSSPLF (libérer) 8-DSPSPLFA (voir les caractéristiques) et enfin 9-Hé, Mr. OS/400, aidez moi ! (l'OS vous aide à imprimer votre spool)
|
Pour retrouver un fichier spool les possibilités sont :
WRKOUTQ : Tous les fichiers spool contenus dans une OUTQ
WRKSPLF : Tous les fichiers spool générés par un utilisateur (par défaut l'utilisateur qui passe la commande)
WRKJOB : Directement, si les fichiers spool ont étés générés par votre travail interactif
Sinon il faut avant retrouver le travail.
WRKUSRJOB Gérer les travaux d'un utilisateur.
WRKACTJOB Gérer tous les travaux actifs
et passer l'option 8 sur la ligne du travail
|
Pour gérer un éditeur d'imprimante les commandes sont :
WRKWTR : gère les éditeurs
WRKWTR *PRT: toutes les imprimantes (actives ou non) WRKWTR *ALL: tous les éditeurs actifs (même remote)
STRPRTWTR : démarre un nouvel éditeur pour un couple outq/imprimante
paramètres importants :
DEV = nom de l'imprimante OUTQ = nom de la file d'attente FORMTYPE = type de papier à traiter AUTOEND = arrêt automatique ou non.
ENDWTR : arrêt d'un éditeur.
|
- IBMi Access Client Solution propose un affichage des spools
Edition/Filtre permet d'être sélectif

et voici les options proposées

- Autre option, disponible sous NAVIGATOR for i :

 |
Pour toutes ces listes vous pouvez indiquer des
critères personnalisés avec Action/Inclusion
<-- Ici, vous retrouvez les paramètres de la commande
WRKSPLF |
Les actions possibles sont :
Action Navigator |
Equivalent WRKSPLF |
Ouverture : lance AFPviewer qui
affiche le spool
Affichage PDF : Lance Acrobat Reader qui affiche le spool |
5 |
Réponse : répondre au message (si
message il y a) |
7 |
Suspension (holder) |
3 |
libération |
6 |
Envoi (SNDNETSPLF ou SNDTCPSPLF) |
1 |
Déplacement |
2 + OUTQ |
Suppression |
4 |
Propriété |
8 (voir) et 2 (modifier) |
- et enfin liste des Imprimantes, vous pourrez
- Voir la liste des spools dans l'outq associée
- Démarrer et arrêter l'éditeur
- Voir et modifier les caractéristiques de
l'éditeur

Utilisateurs
et droits
La gestion de la
sécurité s'appuie sur la notion de
profil utilisateur (objet *USRPRF dans QSYS)
Cette gestion est locale, on ne peut faire appel à LDAP
pour gérer la liste
des utilisateurs : WRKUSRPRF *ALL

l'option 1
permet de créer un
nouvel utilisateur :

remarquons les
paramètres :
- État : *ENABLED (actif) ou *DISABLED
(désactivé, après trois mauvais mot de passe)
- Classe d'utilisateur :
- *USER : sans droits particuliers
- *SYSOPR : de type opérateur (droit de sauvegarde et de
gestion des travaux)
- *PGMR : développeur (droit au debug)
- *SECADM : droits de création des utilisateurs
- *SECOFR : tous les droits, pour cet utilisateur les droits
sur les objets ne sont pas vérifiés
- Possibilités restreintes qui interdit l'utilisation de la
ligne de commandes

Ici, remarquons
- la durée de
validité d'un mot de passe
- la JOBD
- le profil de groupe
nous pouvons attribuer à l'utilisateur un
profil de groupe afin de gérer les droits sur quelques groupes
cohérents d'utilisateurs et non individu par individu.
La gestion des utilisateurs pouvant être
réalisée depuis NAVIGATOR for i :

La gestion des droits est la
base de la sécurité sur
un AS/400, tout objet possède des droits publics
(indiquant les droits par défaut pour un utilisateur
"lambda"
indiqué par *PUBLIC) et des droits nominatifs ou
privés.
les droits sont
révisables par EDTOBJAUT (WRKOBJ puis option
2) ou WRKAUT pour les
fichiers IFS.

- *EXCLUDE marque une absence
de droit
- *USE donne un droit de
consultation
- *CHANGE le droit de
modification du contenu (fichier BD
particulièrement) mais pas de la structure
- *ALL donne tous les droits
(destruction incluse)
F11 permet de voir le
détail.
Navigator for I vous permet aussi de modifier les droits d'un objet

--> 
Quelques conseils :
Utilisez au maximum la notion de groupe
1/ groupe d'utilisateur d'une part (profil de groupe)
2/ groupe d'objets d'autre part.
et c'est la partie la plus délicate, en effet la notion de groupe d'objets est représentée sur AS/400 par les bibliothèques, or les droits que vous indiquez sur la bibliothèque ne permettent pas de préciser ce qu'il est possible de faire AVEC LES OBJETS de celle-ci.
==> une bibliothèque est un bon moyen d'INTERDIR.
mais pour les utilisateurs ayant le droit d'utiliser la bibliothèque il faudra être plus précis.
La meilleure solution semble être les listes d'autorisations
le principe est de pouvoir définir un "modèle" de droits (une règle) et d'appliquer ensuite cette règle à x objets.
Le système identifie la liste d'autorisation comme un type d'objet spécifique, dont l'identificateur est *AUTL.
l'association d'un objet et d'une liste d'autorisation de fait par GRTOBJAUT (cette dernière sait travailler avec une bibliothèque entière)
Le paramètre CRTAUT d'une bibliothèque (CHGLIB pour modifier) permet de référencer une liste d'autorisation à appliquer automatiquement lors de la création d'un objet
|
Ordre de recherche des autorisations sur un objet --------------------------------------------------- 1/ avec le profil de référence + le profil est il de type QSECOFR ? --OUI ----------->! NON ! ! ! + le profil a-t-il des droits sur l'objet OUI ----------->! NON ! ! ! + le profil est-il indiqué dans la liste OUI ----------->! d'autorisation (s'il y a une liste) ! NON ! ! ! 2/ avec le profil de groupe ! ! (s'il n'y a pas de profil de groupe --> 3/ ) ! ! ! + le groupe est il SPCAUT(*ALLOBJ) ? ! OUI ----------->! NON ! ! ! + le groupe a-t-il des droits sur l'objet OUI ----------->! ! ! NON ! ! ! ! ! + le groupe est-il indiqué dans la liste OUI ----------->! d'autorisation (s'il y a une liste) ! NON ! ! ! 3/ avec *PUBLIC ! ! ! ! + *PUBLIC est-il indiqué sur l'objet ! OUI ----------->! NON ! ! ! + *PUBLIC EST indiqué dans la liste --------------------->! ! ####################### ! # les droits trouvés # <-----------------------------! # sont pris en compte # #######################
|
Sauvegardes
La notion de sauvegarde / restauration est INCONTOURNABLE sur AS/400
Quelques remarques préliminaires:
Les commandes de sauvegardes orientées objet/bibliothèque sauvegardent aussi bien l'objet (définition - attributs) que son contenu.(mais uniquement les autorisations pour *PUBLIC.)
Ce qui signifie: - les supports doivents être initialisés en format *SAVRST (disquettes)
- ils ne peuvent être traités que par un AS.
Pour une transmission de fichier sur d'autres systèmes:
- initialiser au format *DATA (val /dft)
- utiliser les commandes CPYTODKT --> CPYTOTAP --> CPYFRMDKT <-- CPYFRMTAP <-- Après avoir passé la commande OVRTAPF ou OVRDKTF, s'il le faut.
|
Il y a quatre grands types de supports: préparation
- diskette (historique) cde INZDKT
- bande (std, cartouches, 8mm) cde INZTAP
- Optique (DVD-RAM/ROM, USB) cde INZOPT
- fichier de sauvegarde cde CRTSAVF
une sorte de "fichier bande" sur disque, ne pouvant contenir qu'UNE
SEQUENCE DE SAUVEGARDE, qu'UNE BIBLIOTHEQUE.
Pour sauvegarder le CONTENU d'un fichier de sauvegarde sur support
magnétique: SAVSAVFDTA.
Pour le mettre à blanc : CLRSAVF , pour visualiser le contenu DSPSAVF .
|
Les informations à sauvegarder sont multiples:
1°/ MULIC : Model Unique Licensed Internal Code (jusqu'à V3R60)
2°/ LIC : Licensed Internal Code microcode sous licence
3°/ Les objets de configuration définition de tous les périphériques (DKTxx, TAPxx, DSPxx) et de toutes les lignes.
4°/ Les informations liées à la sécurité (profils et autorisations)
5°/ L'OS/400 de base (non compris les options)
6°/ Les pgms sous licences (QRPG, QPDA, y compris les options de l'OS)
7°/ Les objets utilisateurs (pgms, fichiers, ...)
8°/ Les dossiers, documents, et TOUTE la Structure IFS.
|
A chaque type d'objet correspond une commande
SAVSTG: Copie secteur par secteur des informations permanentes des disques
ATTENTION : Vous devez être "système restreint", c'est à dire tous les sous-systèmes arrétés, seule la console est reconnue.
Pour ce faire: -CHGMSGQ QSYSOPR DLVRY(*BREAK) SEV(50)
-ENDSYS (attendez le message "le système est en mode restreint ...")
-Passer votre commande : SAVSTG (c'est vrai aussi pour SAVSYS et RCLSTG) -Pour redémarrer DSPSYSVAL QCTLSBSD STRSBS de ce sous-système
La date de sauvegarde de la data area QSAVSTG vous indique la dernière utilisation de cette commande.
|
A chaque type d'objet correspond une commande
SAVSYS: Sauvegarde microcode, OS, données de sécurité et objets de config.
ATTENTION : Vous devez être "système restreint".
Commande à exécuter à chaque nouvelle version ou après chaque cumulative de PTF (la data area QSAVSYS vous indique la date de dernière sauvegarde)
SAVCFG: Sauvegarde des objets de configuration uniquement (sous ensemble de SAVSYS, fonctionne système en activité)
A exécuter périodiquement (data area QSAVCFG )
SAVSECDTA: Sauvegarde des éléments de sécurité (profils et autorisations) (sous ensemble de SAVSYS, fonctionne système en activité)
A exécuter périodiquement (data area QSAVUSRPRF )
Ces quatres commandes ne fonctionnent que vers une unité externe (SAVCFG et SAVSECDTA acceptent *SAVF)
|
SAUVEDARDE DE BIBLIOTHEQUES:
Cde SAVLIB admet trois valeurs particulières
*NONSYS (tout ce qui n'est pas sauvegardé par SAVSYS, sauf documents) = toutes les bibliothèques du système en ordre alpha (sauf: QSYS, QDOC, QSPL, QRPLOBJ, QTEMP, QSRV, QRECOVERY) le système doit être en mode restreint.
La date de sauvegarde de la data area QSAVLIBALL vous indique quand cette commande a été utilisée pour la dernière fois.
*ALLUSR (toutes les bibliothèques utilisateurs ou les bibliothèques contenant des objets utilisateurs)
y compris, donc, QGPL, QUSRSYS, QS36F, £LIBRARY Data area associée QSAVALLUSR
*IBM (tous les produits sous licence + leurs PTFs)
Data area associée QSAVIBM
|
la commande SAVLIB possède deux paramètres importants:
LIB() les valeurs que nous venons de voir, admet aussi de UN a TROIS CENT noms.
OMITLIB() bibliothèques à omettre (pour *ALLUSR, *IBM, ...)
*NONE ou de UN à TROIS CENT noms.
Autres paramètres
DEV() unité DKTxx TAPxx ou *SAVF
SEQNBR() N° de la sequence sur bande
1 : la sauvegarde commence en début de bande ==> effacement demandé par message sauf CLEAR(*ALL)
(dft) *END : sauvegarde effectuée en fin de bande (en ajout, donc)
PVTAUT() sauvegarde ou non(dft) des droits en même temps
SAVF() nom qualifié du savf si DEV(*SAVF)
UPDHST() mise à jour date de dernière sauvegarde si DEV(*SAVF) (automatique pour une sauvegarde sur unité)
TGTRLS() version du système de restauration *CURRENT, *PRV ou VxRyMz.
|
Vous pouvez sauvegarder des objets individuellement avec
SAVOBJ OBJ() *ALL (tous, sauf l'objet *LIB)
nom ou nom-gen* (jusqu'à 300)
LIB() jusqu'à 300
OBJTYPE() *ALL ou un à plusieurs types d'objet.
ET ENFIN vous pouvez ne sauvegarder que les objets modifiés depuis le dernier SAVLIB (par défaut) avec:
SAVCHGOBJ (mêmes paramètres que SAVOBJ, sauvegarde incrémentielle)
+ REFDATE() date de référence / par défaut *SAVLIB
REFTIME() heure de référence
En ce qui concerne les fichiers : sauvegarde membre à membre (seuls les membres modifiés sont sauvegardés: c'est une très bonne commande pour les fichiers source)
|
Pour les documents et les dossiers:
SAVDLO DLO(*ALL) FLR(*ANY)
sauvegarde tout (data area QSAVDLOALL )
SAVDLO DLO(*CHG) = SAVCHGOBJ
SAVDLO DLO(un-nom) FLR(un-nom) = SAVOBJ
SAV
pour sauvegarder tout ou partie de la structure IFS.
Pour sauvegarder "/microsrv/microopt" :
SAV DEV('QSYS.LIB/TAP01.DEVD') OBJ('/MICROSRV/MICROOPT/*') SUBTREE(*ALL)
Pour sauvegarder tous les branches "spécifiques" à IFS
SAV DEV('QSYS.LIB/TAP01.DEVD) OBJ(('/*') ('/QSYS.LIB' *OMIT) ('/QDLS' *OMIT) SUBTREE(*ALL)
Pour sauvegarder/restaurer OBJ('/*') [tout votre système] vous devez être en mode restreint.
|
 Le menu SAVE propose un accès à toutes ces commandes de sauvegarde
Il peut être intéressant à ce stade de voir un tableau récapitulatif
Vous verrez à gauche les commandes de sauvegarde disponibles
à droite les commandes de restauration associées.
Sachant qu'une commande de restauration plus restrictive est toujours valide (RSTOBJ pour SAVLIB par exemple)
|
sauvegarde | élement du système à sauvegarder | restauration ^ ...................................... panneau de contrôle ! _______________:1 MULIC (propre à un modèle) : 01 D / M ! ^ :2 LIC (5738999) : puis IPL ! ! :....................................:--------------------- S :3 OS/400 (QSYS) :IPL ou install opt/2 S A ----------:....................................:--------------------- V : Autorisations privées : RSTAUT A S SAVSECDTA :4...................................:----------- Y : Profils utilisateurs : RSTUSRPRF V S ----------:....................................:--------------- ! SAVCFG :5 objets de configuration : RSTCFG S v : : * SAVLIB *IBM :6 options OS/400 + produits/licence : RSTLIB *IBM * T N -----------:....................................:--------------- N O ^ *ALLUSR :7 QGPL, QUSRSYS, QS36F, £LIBRARY : *ALLUSR ^ O G N ! ------:....................................:----------- ! N S ! ^SAV- :8 BIB01 : ^ ! S ! Y ! ! LIB: BIB02 bibliothèques : RSTLIB ! ! Y ! S v v OBJ: BIB03 entreprise : RSTOBJ v v S ! SAVDLO *ALL :9 document/QDOC,distribution/QUSRSYS: RSTDLO *ALL ! : : v SAV (IFS) :10 (QSYS.LIB *OMIT) (QDLS *OMIT) : RST ...
|
Navigator for i vous propose uniquement un accès aux unités bande (réelles ou virtuelles) et aux bandothèques

Organisation
et stratégies des sauvegardes
-
Commit/Rollback , Gestion des transactions
Un des risques en cas d'arrêt du système est la désynchronisation des fichiers B de D dépendants.
La gestion des transactions par pgm (en s'appuyant sur la fonction journal) minimise les risques d'incohérences dans vos fichiers.
La fonction journal, archive dans un fichier système particulier (récepteur) toute l'activité base de données
 les enregistrements ajoutés, modifiés( en version avant et après) et les suppressions, il y a donc , ainsi, possibilité de reconstruire mais aussi de retour arrière.
il n'y a pas de solution satisfaisante aujourd'hui en ce qui concerne la sauvegarde des spools, avant la V5R40.
Depuis cette version, si on sauvegarde une OUTQ avec SPLFDTA(*YES), les spools sont sauvegardés
|
I/ Solution simple, vous avez des sauvegardes complètes (les plus récentes possibles)
1°/ de votre système SAVSYS
2°/ de vos données/systèmes SAVSECDTA et SAVCFG
3°/ des données entreprises. objets: SAVLIB *ALLUSR
documents: SAVDLO et SAV
Moins importants sont : les produits sous licence
- il est toujours possible de recharger et d'appliquer la dernière cumulative.
Les bibliothèques de développeur
- souvent traitées par SAVCHGOBJ sur les fichiers source (perte de travail sur une journée ?)
|
II/ Vous souhaitez réduire le temps d'indisponibilité des objets afin de pouvoir faire vos sauvegardes de jour.
Utilisez le paramètre SAVACT (Save while active)
a/ Le système établit un point de contrôle (Les objets sont indisponibles)
b/ le point de contrôle établi, la disponibilité des objets est rendue
c/ les pages de fichier modifiées pendant la sauvegarde sont dupliquées
d/ en fin de sauvegarde, les modifications (enregistrées dans les pages dupliquées) sont répercutées.
Gain: Temps d'indisponibilité réduit. Désavantages: Les modifications ne sont pas sauvegardées (fichiers désynchronisés ?) Le temps de traitement global est plus long. DANGER en cas d'arrêt du système, pendant la sauvegarde.
|
III/ Vous mettez en place la fonction journal avec détachement et sauvegarde du récepteur toutes les demi-journées.
Gains:
un SAVLIB par semaine
détachement du récepteur en activité (inutile d'arrêter les utilisateurs)
sauvegarde rapide (volume faible)
vous ne perdez plus qu'une demi-journée. (quand même !)
la fonction journal peut être utilisée à des fins d'analyse. (DSPJRN)
Désavantages:
Légère dégradation des performances (E/S disques supplémentaires)
Gestion des récepteurs (ménage)
|
IV/ Vous associez à la fonction journal, la notion d'ASP
Un ASP est un disque (ou un bras d'accès) "sorti" de la notion d'espace adressable unique.
Historiquement il ne pouvait contenir que journal, récepteur et SAVF
Cela reste (c'est une opinion arbitraire) son intérêt premier !!!
Si vous perdez ce disque.
==> aucune perte de données, l'E.A.U est intacte.(mais le système est indisponible) Si vous perdez un autre disque (ASP système)
==> vous récupérez les éléments de l'ASP par RCLSTG. ==> Vous restaurez .votre journal et tous vos récepteurs .vos bibliothèques (SAVLIB hebdomadaire) ==> vous appliquez les modifs du journal (APYJRNCHG)
Normalement vous ne devez perdre aucune transaction.
|
Gains:
- aucune perte de données (sur les fichiers)
- Vos sauvegardes via SAVF sont plus sûres (SAVF dans l'ASP)
- la manipulation d'ASP est devenue souple (principalement en cas de débordement)
- vous avez toujours la possibilité d'utiliser Commit/Rollback
Désavantages:
Légère dégradation des performances (E/S disques supplémentaires, et sur un disque imposé !)
Le temps de reprise est très long.
(nous pouvons toujours atteindre, comme avec les solutions précédentes, 12 à 24 Heures, suivant votre config.)
|
V / Toutes les solutions à venir impliquent des investissements supplémentaires conséquents :
A: RAID-5 la fonction XOR est assurée par l'unité disque. (qui posséde son propre processeur et plusieurs disques 3,5')
Un cas de problème sur un disque physique, l'unité est capable de fonctionner en mode dégradé. (reconstitution des infos manquantes à chaque lecture)
B: MIRRORING les disques sont doublés (les écritures aussi)
Aucun arrêt en cas de problème, ni pendant l'intervention. (MIRRORING possible au niveau Bus et Contrôleur)
|
C: le BACKUP complet.
DEUX AS/400.
- L'AS de backup peut être utilisé pour le développement.
- les configurations doivent être dupliquées. (basculement rapide)
- Vous pouvez dupliquer régulièrement vos modifs B de D.
Avec la fonction journal (transfert du récepteur et APYJRNCHG)
- OU temps réel (part RCVJRNE et traitement par le LAN, ou produits du marché).
|
D: Clusters (dispositif facturable : Option 41 de l'OS)
DEUX AS/400 (ou plus) sont vus comme un seul à l'intérieur d'un Cluster Ressource Group.
Pour faire de la réplication [Backup] , il faut un produit tiers. 
Pour pouvoir "switcher" un pool disque (iASP) d'un serveur à l'autre. 
Ce dernier cas de figure permettant d'envisager une réplication croisée, offrant un taux de disponibilité proche de 100 %. 
|
Introduction aux
réseaux sur AS/400
la notion d'unité représente sur l'AS/400 la vision historique de la mini-informatique c'est à dire une relation maitre (le mini) esclave (le terminal)
typiquement
+--CTL01 (une carte dans l'AS/400, dite contrôleur TWinax) ! ! +----Unite un écran passif ou une imprimante)
|
toute la gestion du twinax est
basée sur une architecture en
bus (comme BNC)

A la sortie de l'AS/400 se
trouve ce type de boitier avec quatre
broches ou "port"
de 0 à 3 sur le
premier boitier, de 4 à 7 sur le
deuxième.
chaque écran est
connecté avec un T
assurant
ainsi la continuité

vous devez ensuite, positionner
pour chaque terminal une adresse
logique (de 0 à 6)

chaque série
de terminal possède un menu de
configuration qui lui est propre
(sur les terminaux IBM,
il faut souvent maintenir la touche
espace enfoncée lors du démarrage)
|
 |
vous pouvez alors par la touche
F24, modifier l'adresse.

Pour gérer les unités définies dans le système, plusieurs possibilités :
- l'appel du Menu DEVICESTS (accessible par Assistant)
- l'utilisation de la commande WRKCFGSTS
(Work with Configuration Status)
DEVICESTS Etat des unités Système: xxxxxxxx Pour choisir l'une des options suivantes, tapez son numéro puis appuyez sur ENTREE.
1. Gestion des unités écran 2. Gestion des unités imprimante 3. Gestion des unités de bande 4. Gestion des unités de disquette
10. Impression des adresses d'unités locales .................................... : Les Options 1 à 4 permettent : : de gérer les différents types : : d'unités. : Entrez une option du menu : : L'option 10 permettra de lister : 1 : les adresses physiques dans le : : réseau Twinaxial local. : : (= la commande PRTDEVADR) : :..................................:
|
OPTION 1 Gestion des unités écran xxx Indiquez vos options, puis appuyez sur ENTREE. 1=Rendre disponible 2=Rendre indisponible 5=Afficher les détails 7=Afficher messages 8=Gérer le contrôleur et la ligne 9=Rebaptiser 13=Modifier la description
Opt Unité Type Etat DSP01 3476 Utilisé par QSYSOPR. DSP02 5291 Utilisé par QPGMR. DSP03 3196 Hors tension ou pas encore disponible DSP04 5291 Hors tension ou pas encore disponible DSP05 3196 Hors tension ou pas encore disponible DSP06 3196 Utilisé par QSECOFR. DSP07 5291 Ecran ........................ DSP08 5291 Ecran : Niveau d'assistance : DSP09 5291 Ecran : Débutant : DSP10 5291 Hors tension ou pas enc :......................: DSP11 5251 Hors tension ou pas enc DSP12 5291 Hors tension ou pas encore disponible ...
|
Gestion des unités écran ................................................................ xxx : Choix du niveau d'assistance : : : : Niveau d'assistance actuel : Débutant : : : : : : Indiquez votre choix, puis appuyez sur ENTREE. : : : : Niveau d'assistance util 2 1=Débutant : : 2=Initié : : 3=Expérimenté : : : : : F1=Aide F12=Annuler ............................ : : UTILISATION DE LA TOUCHE : :........................................ : F21, POUR CHANGER DE : : NIVEAU D'ASSISTANCE : :..........................:
|
Gestion des unités écran xxx :50 Afficher à partir de Caractères de début
Indiquez vos options, puis appuyez sur ENTREE. 1=Mettre en fonction 2=Mettre hors fonction 5=Gérer travail 8=Gérer description 9=Etat du mode...
Opt Description Etat -----------Travail------------ DSP01 ACTIVE DSP01 QSYSOPR 179417 DSP02 ACTIVE DSP02 QPGMR 179412 DSP03 EN INSTANCE DSP04 EN INSTANCE DSP05 EN INSTANCE DSP06 ACTIVE DSP06 QSECOFR 179416 DSP07 OUVERTURE ... .......... .......... ..... DSP08 OUVERTURE : Assistance niveau Initié : : : affichage des travaux associés : : aux différentes unités : :................................:
|
Gestion des unités écran xxx Afficher à partir de Caractères de début Opt Description Etat -----------Travail------------ DSP01 ACTIVE DSP01 CHRISTIAN 179417 DSP02 ACTIVE DSP02 QPGMR 179412 DSP03 EN INSTANCE DSP04 EN INSTANCE DSP05 EN INSTANCE DSP06 ACTIVE DSP06 QSECOFR 179416 DSP07 OUVERTURE DSP08 OUVERTURE DSP09 OUVERTURE DSP10 EN INSTANCE .................................... DSP11 EN INSTANCE : Assistance niveau Expérimenté : : DSP12 EN INSTANCE : les options et les touches de : DSP13 EN INSTANCE : fonction ne sont plus affichées : DSP14 EN INSTANCE :..................................: DSP15 EN INSTANCE DSP16 EN INSTANCE ...
|
OPTION 2 Gestion des unités imprimante xxx Indiquez vos options, puis appuyez sur ENTREE. 1=Rendre disponible 2=Rendre indisponible 5=Afficher les détails 7=Afficher messages 8=Gérer le contrôleur et la ligne 9=Rebaptiser 13=Modifier la description
Opt Unité Type Etat PRT01 5224 En cours d'impression ou prêt pour impression PRT01B *IPDS Hors tension ou pas encore disponible QSUPPRT 5256 Non disponible (utilisez l'option 1)
Fin
|
Et vint le réseau.(SNA)protocole propiétaire IBM
dans un premier temps, il ne s'agissait que de déporter les terminaux.
+---Ligne (définition sur l'AS/400 de la carte réseau, du ! type d'attachement, et du protocole [SDLC, X25].) ! ! !------ [ france télécom ] ---------CTLxx une boite noire ! dite contrôleur ! à distance (5x94) ! ! !--Unité écran/imprimante
|
Et enfin, les relations d'égal à égal (deux minis se parlent)
+---Ligne (définition sur l'AS/400 de la carte réseau, du ! type d'attachement, et du protocole [SDLC, X25].) ! ! !------ [ france télécom ] ---------CTLxx représentation logique ! du mini distant. ! !--Unité, indiquant le type de dialogue(APPC)
Quand les PC apparaissent dans l'entreprise ce schéma est reproduit :
+---Ligne (définition sur l'AS/400 de la carte réseau, du ! protocole (Ethernet ou Token Ring). ! ! ( ) !------ ( réseau local ) ---------CTLxx représentation logique ( ) ! du PC. !-- unité APPC
|
2°) utilisation de la commande WRKCFGSTS :
Gérer état de la configuration (WRKCFGSTS)
Indiquez vos choix, puis appuyez sur ENTREE.
Type . . . . . . . . . . . . . CFGTYPE *DEV *NWS,*NWI,*LIN,*CTL,*DEV Description de configuration . CFGD *ALL Nom, générique*, *ALL... Sortie . . . . . . . . . . . . OUTPUT * *, *PRINT
L'affichage sera fonction du type (CFGTYPE) :
- *NWS = serveurs de réseau (NT ou Linux dans l'AS/400)
- *NWI = interfaces réseau (Numéris)
- *LIN = lignes
- *CTL = contrôleurs
- *DEV = unités
|
Terminaux passifs .......................................................................... : Opt Description Etat -----------Travail------------ : : CTL01 ACTIVE : : DSP01 EN INSTANCE : : PRT02 EN INSTANCE : : : :........................................................................:
Ligne sur RTC (système de maintenance IBM) ............................................................................ :Opt Description Etat -----------Travail------------ : : QESLINE INSTANCE CONNEXION : : QESCTL EN INSTANCE : : QESPAP EN INSTANCE : : £BLANK EN INSTANCE/ALLOCAT PCAF4W QSECOFR 117456 : : : :..........................................................................:
Les possibilités SNA de l'AS/400.
Passe-système. Terminal virtuel (comme TELNET) entre AS/400
DDM Distributed Data Management (fichiers distribués)
Permet de traiter sur un AS/400 X un fichier BD se trouvant sur un AS/400 Y, comme s'il se trouvait sur X.
DRDA Gestion de bases de données éloignées (SQL)
on défini une seule fois chaque système par la commande ADDRDBDIRE.
SNADS SNA Distribution Services
Distribution de messages SNDNETMSG de fichiers SNDNETF et d'objets (Sauvegarde dans SAVF puis SNDNETF) de spoules SNDNETSPLF Soumissions SBMNETJOB
|
puis vint TCP/IP en 1995, qui n'implémente PAS cette notion de session
en IP, chaque machine est reconnue par une adresse composée de 4 octets (par exemple 192.168.123.1)
chaque besoin (ou service) par un N° de port cible.
Nom du serveur |
port utilisé |
service rendu |
ftp |
20/21 |
serveur de fichiers |
telnet |
23 |
terminal virtuel (émulateur) |
smtp |
25 |
envoi/réception de mail |
dns |
53 |
serveur de noms |
pop |
110 |
serveur de mail (gestion de la boite aux lettres) |
netbios |
137 à 139 |
fonction voisinage réseau |
Quelques exemples de
serveur IP
sont donc créés un contrôleur et une unité de type NET (visibles par WRKCFGSTS)
(il faut alors utiliser NETSTAT pour voir les connexions actives)
|
La configuration de TCP/IP est la suivante :
1/ il faut créer une ligne LAN comme vu plus haut (Ethernet par ex.)
Exemple :
CRTLINETH LIND(ETHLINE1) RSRCNAME(CMN01) ONLINE(*YES) LINESPEED(*AUTO) TEXT('Ligne Ethernet')
2/ il faut associer à cette carte une adresse IP
(une telle association est appelée interface)
Commande CFGTCP , option 1


Pour une tolérance aux pannes vous pouvez utiliser une adresse virtuelle
définissez une interface 172.16.1.1 (par exemple)
ADDTCPIFC INTNETADR('172.16.1.1') LIND(*VIRTUALIP)
puis définissez vos deux interfaces physiques (il faut 2 cartes), par :
ADDTCPIFC INTNETADR('172.16.1.2') LIND(ETLINE01) LCLIFC('172.16.1.1')
et
ADDTCPIFC INTNETADR('172.16.1.3') LIND(ETLINE02) LCLIFC('172.16.1.1')
Puis associez l'adresse IP virtuelle 172.16.1.1 aux deux adresses physiques
(2 et 3), via CHGTCPIFC paramètre LCLIFC ou Navigator for i.
Définir les routes (routeurs ou Gateway), par l'option 2 de CFGTCP
l'option 10 met à jour la table des hosts
l'option 12 met à jour le nom de système et le domaine (DNS).
 puis les IP des serveurs DNS

3/ indiquer ensuite les services qui doivent démarrer en même temps que TCP/IP
Commande CFGTCP option 20, donne la liste des services. puis pour chaque service mettre AUTOSTART à *YES
4/ démarrer TCP/IP par STRTCP, ce qui doit être fait à l'IPL
Pour redémarrer un serveur seul :
ENDTCPSVR *TELNET ou *FTP (etc ...)
puis
STRTCPSVR *TELNET ou *FTP (etc ...)
NB : la commande STRHOSTSVR démarre les serveurs (les jobs) devant
répondre à Client Acces ou ACS.
|
La configuration des terminaux
1/ pour les écrans, la configuration se fait sous client access
2/ Autant, la gestion des imprimantes twinax ou virtuelles est automatique. (la création de l'unité entraine la création de l'OUTQ dans QUSRSYS) pour les imprimantes LAN, il faudra fournir : - l'adresse IP de l'imprimante (et le port) - type et modèle pour la transformation du spool (fonction HPT)
soit sur la définition de l'OUTQ, dite alors "remote" (ici un Serveur NT) adr. ip -! !-- il s'agit du nom "NT" v v CRTOUTQ OUTQ(TCP) RMTSYS('10.1.1.1') RMTPRTQ(LASERJET) CNNTYPE(*IP) DESTTYPE(*OTHER) MFRTYPMDL(*HP4) PPRSRC1(*A4) FORMFEED(*AUTOCUT) ^ ^ ici indiquer le type d'imprimante. --! !-- le format papier soit sur la définition de l'imprimante (ici une HP utilisant PJL/JetDirect) CRTDEVPRT DEVD(PRTHP) DEVCLS(*LAN) TYPE(3812) MODEL(1) LANATTACH(*IP) PORT(9100) FONT(11) TRANSFORM(*YES) MFRTYPMDL(*HP4) RMTLOCNAME('10.1.1.2') SYSDRVPGM(*HPPJLDRV)
|
Les possibilités TCP/IP de l'AS/400.
- la couche TCP/IP , les APIs sockets et le filtrage IP - Fonction de serveur et de passerelle
° VPN , SLIP et PPP (IP sur réseau commuté)
° BOOTP(serveur d'adresse statique)
° DHCP (serveur d'adresse dynamique)
° DNS (serveur de noms)
° RIP2 (routage dynamique) - TELNET : émulation écran
- LPD/LPR : transfert de spools
- SMTP / POP3 : gestion de messages
- FTP : transfert de fichier
- TFTP (trivial FTP, un FTP simplifié)
- HTTP : Serveur WEB de pages HTML (Apache 2)
- NFS (partage de fichiers avec UNIX)
- DDM et DRDA sur IP
- Rexec (Exécution de commandes à distance)
- Netserver (l'AS/400 dans le voisinage réseau, comme SAMBA/Unix)
- LDAP (annuaire)
- DLFM (lien entre zones DB2 et fichiers IFS, par URL)
|
Pour surveiller le réseau IP, vous disposez de plusieurs commandes :
PING (Sur l'AS/400 les deux commandes VFYTCPCNN ou PING sont valides).
TRACEROUTE pour afficher la liste des intermédiaires
NETSTAT qui vous affiche un menu (l'option 3 montre les connexions actives)
Work with TCP/IP Connection Status Système: S44R7 Local internet address . . . . . . . . . . . : *ALL
Type options, press Enter. 4=End 5=Display details
Remote Remote Local Opt Address Port Port Idle Time State * (1) * domain 167:11:00 *UDP * * domain 167:11:00 *UDP * * domain 167:11:00 *UDP * * www-http 000:01:15 Listen * * domain 000:10:05 *UDP * * www-http 001:25:59 Listen 10.3.1.2 (2) 1227 23 000:00:00 Established 10.3.1.2 1904 netbios > 000:04:04 Established 10.3.1.2 1906 23 000:00:24 Established
(1) représente un service à l'écoute (en attente) (2) indique un service en activité, remote Address précisant l'interlocuteur
|
|
Tout cela pouvant être réalisé dans l'option Réseau de Navigator for i.
Les interfaces

Les connexions actives (Netstat *CNN)

Les serveurs

les outils IP "traditionnels" sont aussi proposés (Ping
, Traceroute et Nslookup)
-
Vous pouvez continuer en
suivant les cours :
©
AF400 - Volubis